les faibles d’esprit mettent la France en faillite !

 

Hollande veut recréer les postes supprimés dans l’Education

C’est les fonctionnaires qui fond marcher la France

1 travaille  ‘60 heures’ et 5 regardent

Y en a marre de voir cette tète de coc..

.Pauvre France !!!!!!!!!!!!. Hollande veut recréer les postes supprimés dans l'Education

PARIS (Reuters) – L’ancien ministre socialiste de l’Education Jack Lang a pris samedi la défense de François Hollande, favori de la primaire d’investiture du PS pour la présidentielle, qui s’est démarqué de ses rivales en s’engageant à recréer en cinq ans les postes supprimés dans l’Education nationale depuis l’élection de Nicolas Sarkozy.

Il n’y en a même plus assez ,pauvre deb…!

ni de sous dans nos caisses privées pour vous y servir

 

 

Cette proposition, qualifiée aussitôt d’"irresponsable" par le ministre UMP de l’Education nationale, Luc Chatel, a été formulée vendredi par le député de Corrèze lors d’un déplacement dans l’Aisne.

"Ce que je dis très clairement, c’est que nous allons arrêter l’hémorragie", a-t-il déclaré.

"La règle de non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux sera purement et simplement abandonnée et nous allons recréer les postes qui ont été hélas supprimés. Ils seront affectés là où les besoins sont les plus sensibles", a-t-il expliqué.

"Je fais la proposition d’une loi de programmation sur cinq ans qui permettra de recréer des postes et de donner une espérance, une vision, une perspective, et aux enseignants et aux parents d’élèves", a-t-il ajouté.

François Hollande, qui se présente pourtant sur l’échiquier politique comme l’un des tenants de la rigueur face à l’ampleur du déficit public français, entend recréer "60.000 à 70.000 postes" supprimés depuis 2007 s’il est élu en 2012.

Après 50.000 suppressions de postes dans l’Education nationale entre 2007 et 2010, le gouvernement en a programmé 16.000 pour cette rentrée et 14.000 en 2012, soit au total 80.000.

Le Parti socialiste ne donne pas d’objectifs chiffrés dans le "pacte éducatif" qu’il propose dans son programme présidentiel. Martine Aubry et Ségolène Royal, principales concurrentes de François Hollande, se prononcent elles pour un moratoire des suppressions de postes.

Martine Aubry, devancée dans les sondages par l’élu de Corrèze, a ironisé samedi sur la conversion de son rival.

"Je suis contente que François Hollande fasse maintenant de l’Education une priorité et qu’il ait changé d’avis car il y a encore quelques jours, il disait vouloir sanctuariser le budget de l’Education à ce qu’il est aujourd’hui", a-t-elle dit à des journalistes en marge de l’université de rentrée du PS du Nord, à Lomme.

Les propositions de François Hollande "sont tout simplement irresponsables et irréalistes (…) au moment où tous les grands pays du monde sont engagés dans un combat contre la dépense publique", a réagi Luc Chatel sur BFM TV.

LANG QUALIFIE CHATEL D’"IRRESPONSABLE"

"M. Hollande méconnaît les systèmes de recrutement de nos enseignants. Il veut recruter 70.000 enseignants supplémentaires en cinq ans, je rappelle que nous recrutons en ce moment 14.000 enseignants par an. Cela voudrait dire qu’il faudrait doubler le nombre de recrutements par an. Nous n’avons pas aujourd’hui les candidats suffisants pour doubler le nombre de recrutements", a dit le ministre.

Jack Lang, ministre de l’Education sous Pierre Bérégovoy et Lionel Jospin, juge au contraire "sage et réaliste" le projet de François Hollande.

"Le véritable irresponsable c’est Monsieur Chatel qui sans discernement et à l’aveugle a infligé à l’école un plan de purge qui met en péril la qualité de notre enseignement", déclare-t-il samedi dans un communiqué.

"L’idée d’une programmation pluriannuelle des recrutements des professeurs naguère pratiquée par moi-même sous le gouvernement Jospin doit être absolument reprise", ajoute-t-il.

La présidente du Front national, Marine Le Pen, a déclaré samedi matin sur RTL que le député de Corrèze était "très hypocrite".

François Hollande, a-t-elle dit, "n’est pas le mieux placé pour parler de rigueur et d’organisation de la fonction publique".

"La réalité est que pendant que Nicolas Sarkozy tranchait dans le vif dans la Fonction publique d’Etat, avec effectivement des choix très contestables, notamment la suppression de postes de gendarmes, dans la fonction publique hospitalière, les socialistes à la tête des régions augmentaient dans des proportions spectaculaires la fonction publique territoriale en faisant porter le poids d’une fiscalité sur les classes moyennes", a-t-elle déclaré.

Sophie Louet

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