ELSASSLAND

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Photo de ELSASSLAND.
Stéphane Valérie Toussaint Moi j’aime bien l’Alsace, en plus c’est pas loin de la France. Ah ah ah ! 😂😂😂😂

Theo Roelly
Jacques Lucienne
Votre commentaire…

Il y a 105 ans était proclamé le Reichsland d’Alsace-Lorraine avec un parlement local, des lois locales, un gouvernement local et même un drapeau officiel!
Aujourd’hui, la République Française nous fusionne dans une mega-région sans identité et sans saveur, pour toujours mieux diluer notre identité et notre histoire, et afin de toujours plus nous déraciner et pouvoir nous utiliser comme du bétail.
Mais nous ne nous laisserons pas faire.
Plus que jamais, vive l’Europe des peuples, vive l’Alsace libre!
Maîtres chez nous!

Photo de ELSASSLAND.
Canadien Butcher Vive l’Alsace libres et non à l’Europe

Alexia de L'alsace
Alexia de L’alsace Alsacienne pour la vie ♡

Jacques Lucienne
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ELSASSLAND a partagé la publication de David Ferrari.
21 h ·
Photo de David Ferrari.
David Ferrari

Le 31 mai, jours de la fête nationale de l’Alsace, de son peuple et de ses patriotes. Fête de l’espoir aussi, celle des luttes sans aucune concession jusqu’à la

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Ziss Francis

è

 

 TOUS A STRASBOURG ce SAMEDI 30 Avril 14h00 Place de Bordeaux.Jetzt langt’s / Maintenant ça suffit !- Suppression de notre administration régionale- Attaque de notre Droit Local

Photo de Dominique Greder.

LSASSLAND et L’Alsace ont partagé un lien.
Serlet est disponible sur mobile et tablette. Elle s’adresse aux millions de touristes qui séjournent dans la région chaque année. 230 mots sont référencés, dans les domaines du logement, de la gastronomie, les salutations, les transports, bref tous les aspects pratiques d’un voyage.

Un peu d’ouverture d’esprit les enfants. L’Alsace est Alsacienne oui mais des générations de personnes d’autres régions et pays sont venus s’installer. Il faut arrêter les petites querelles de clocher. L’objectif aujourd’hui est de garder notre patrimoine Alsacien et ne pas céder aux enfantillages politiques.

Nous aussi, imposons à Paris un référendum pour l’avenir de l’Alsace !

Qu’exigez-vous pour l’Alsace :

1) Région Grand-Est
2) Région Alsace
3) Région autonome d’Alsace
4) Région autonome d’Alsace-Moselle
5) Indépendance de l’Alsace
6) Libre choix…

Photo de ELSASSLAND.
Photo de ELSASSLAND.
Photo de La gauche m'a tuer.

La France jamais soumise tant que des Français seront présents pour la défendre. Partagez massivement

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Bienvenue !

Recettes d’Alsace

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Tarte FlambéeRecettes d’Alsace vous ouvre une porte sur la gastronomie et le terroir de la région d’Alsace.

Notre objectif est de vous permettre de réaliser très simplement chaque recette alsacienne, étape par étape.

Baeckeoffe

choucroute

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« VOUS ÊTES DANS MON BLOG  » ALSACE  »

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MON ALSACE ou je mets mes affaires persos (a vous de les apprécier ou pas)

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JACK’S PHOTOS 2 (Idem et suite )

FESTA Dell’UVA 3 jours non stop a la fête du vin ou du raisin a GATTINARA au Piémont

MON COEUR ou je relate mes problèmes cardiaques et d’autres avertissements

40 Ans de NATHALIE Comme le dit le titre

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c’est le début de la fin !

 

Legende

La légende d’une Alsace « Rot un Wiss »… il était une fois ou pas encore…

Depuis 70ans, l’Alsace fut cédée à la France, le dialecte interdit à l’école, le Haut-Rhin et le Bas-Rhin mis en conflit (comme le témoigne le blason de 1949), le drapeau historique « Rot un Wiss » laissé à Monaco et INTERDIT par le gouvernement Français depuis l’entre deux guerres.
En plus de nous appeler « Grand-Est », l’instance gouvernementale du tourisme et du patrimoine se sert de notre nom « Alsace » pour en faire une marque touristique se voulant fédératrice de nos valeurs profondes pour canaliser le populisme latent comme moteur de cette machine à fric Française.
Pour ceux qui viennent de se réveiller, l’Alsace « Rot un Wiss » voulue par nos alleux n’existe plus ! Elle fut démantelée depuis sa dernière annexion de 1945.

L’ALSACE « Rot un Wiss » existera à tout jamais dans mon cœur par la mémoire de mes défunts grands-pères qui se sont tous deux battus pour une Alsace « Rot un Wiss », l’un Croix de Guerre – Légion d’Honneur et l’autre Résistant Alsacien fait prisonnier politique par l’Allemagne. RIP à eux et à leur courage.

Er ben « Rot un Wiss » un er ben a Elsasser bis en mina Harz !

Berewecke : le pain de Noël alsacien

Où ?

Quoi ?

Quand ?

Sorties en Alsace

Gastronomie>Recettes>Berewecke : le pain de Noël alsacien

        

Le Berewecke est un pain de Noël principalement constitué de fruits secs et de fruits confits macérés dans du schnaps.

Le berewecke, pain de Noël alsacien DR Le berewecke, pain de Noël alsacien

Cette pâtisserie alsacienne s’offre traditionnellement à Noël et se consomme en tranches très fines. La pâte est « non levée » et beaucoup pensent à tort que son étymologie provient de Beera – poire en alsacien – mais la vérité serait ailleurs. Il faut chercher dans la culture Yiddish (Pere signifierait Pessa’h, la Pâque juive) et ce gâteau serait un cadeau de la communauté juive, autrefois fortement implantée en Alsace. Convient parfaitement aux joggers, presque un repas complet à lui tout seul…

La recette du Berewecke alsacien :

Ingrédients :
– 800g de fruits séchés (poires, pommes, figues, dattes, pruneaux…)
– 200g de raisins secs
– 60g d’amandes moulues
– 75g de noix hachées
– 100g de fruits confits (citron, orange, angélique…)
– 250g de farine
– 1 sachet de levure boulangère
– 300g de sucre (250g pour la pâte + 50g pour la macération)
– 7cl de kirsch

Les épices :
– 1/2 cuillère à soupe de cannelle
– 1/2 cuillère à soupe d’anis moulu
– 1 pincée de clou de girofle moulu
– 1 pincée de noix de muscade moulue
– 1 pincée de cardamome
– 1 tour de moulin de poivre

Le glaçage (facultatif) :
– un demi bol de sucre glace
– un peu de kirsch

La recette :
1. Coupez les fruits séchés en petit cubes. Les faire tremper avec les raisins secs, dans le kirsch, les 50g de sucre et un grand verre d’eau. Laissez macérer pendant 24h. Le lendemain, égouttez les fruits en concervant le jus de la macération.

2. Préparez la pâte à pain en mélangant la farine, la levure, une pincée de sel et petit à petit le jus de la macération (environ 20 cl). Roulez la pâte en boule, couvrez-là d’un torchon propre et laissez reposer 1 heure à température ambiante.

3. Mélangez tous les autres ingédients et les épices. Ajoutez ce mélange à la pâte à pain en pétrissant à la main.

4. Formez un grand pain, ou plusieurs petits pains ovales. Pour avoir une forme bien régulière vous pouvez les mettre dans des moules à cake.

5. Enfournez dans le four préchauffé à 180°. Comptez environ pour 35 min pour des petits pains, ou une heure pour un gros pain. Surveillez la cuisson !

6. Facultatif : à la sortie du four, quand les pains sont encore chauds, couvrir du glaçage.

Remarque : les berewecke se consomment généralement à Noël, mais ils se conservent facilement plusieurs semaines.

Gastronomie : les traditions de Noël en Alsace

  Commentaires

  • Maryline – http://www.jds.fr | 15/12/16 | 12h05

    Bonjour Hyrekia
    Le sucre s’ajoute à l’étape trois, c’est à dire « avec tous les autres ingrédients et les épices ».
    Cordialement

  • Hyrekia | 15/12/16 | 10h16

    À quoi servent les 250g de sucre pour la pâte ? On ne sait pas à quel moment de la recette ils sont ajoutés.

  • Maryline – jds.fr | 09/12/14 | 15h44

    Suite à vos demandes, nous avons ajouté la recette ! Bonne réussite 😉

  • Jacotte kerninon | 03/12/14 | 9h50

    Moi aussi je suis intéressée par la recette, merci de me la faire suivre

  • carteron daniele | 18/12/13 | 13h48

    je voudrais avoir la recette du berewecke je l’ai decouvert ce jour a la tele et j’adore tois ce qui a des fruits confits merci d’avance

  • lory | 05/12/12 | 5h28

    Bonjour
    Je ne trouve pas la recette pour ce pain..il a l air délictueux..

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Le mouvement écologique | SousEsprit

A la caisse d’un super marché une vieille femme choisit un s

mouvement-ecologiqueA la caisse d’un super marché une vieille femme choisit un sac en plastique pour ranger ses achats. La caissière lui reproche alors de ne pas se mettre à « l’écologie » et lui dit:
« Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique. Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources! »

La vieille femme s’excusant auprès de la caissière expliqua:
« Je suis désolée, nous n’avions pas de mouvement écologique dans mon temps. »

Alors qu’elle quittait le magasin, la mine déconfite, la caissière en rajouta:
« Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à notre dépens.
C’est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l’environnement dans votre temps! »

La vieille dame se retournant admît qu’à l’époque, on retournait les bouteilles de lait, les bouteilles de limonade et de bière au magasin qui les renvoyait à l’usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau ; on utilisait les mêmes bouteilles à plusieurs reprises.
À cette époque, les bouteilles étaient réellement recyclées,
mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.

De mon temps, on montait l’escalier à pied : on n’avait pas d’escaliers roulants dans tous les magasins ou dans les bureaux. On marchait jusqu’à l’épicerie du coin aussi. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu’il fallait se déplacer de deux rues.
Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.

À l’époque, on lavait les couches de bébé avec du savon ; on ne connaissait pas les couches jetables ni les lingettes.
On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge; pas dans un machine avalant 3000 watts à l’heure.

On utilisait l’énergie éolienne et solaire pour vraiment sécher les vêtements.
À l’époque, on recyclait systématiquement les vêtements qui passaient d’un frère ou d’une soeur à l’autre.

C’est vrai ! on ne connaissait pas le mouvement écologique

À l’époque, on n’avait qu’une TV ou une radio dans la maison ; pas une télé dans chaque chambre. Et la télévision avait un petit écran de la taille d’une boîte de pizza, pas un écran de la taille de l’État du Texas.

Dans la cuisine, on s’activait pour fouetter les préparations culinaires et pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu’EDF en produit.

Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boites ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.

À l’époque, on utilisait l’huile de coude pour tondre le gazon ; on n’avait pas de tondeuses à essence auto-propulsées ou auto portées.

À l’époque, on travaillait physiquement; on n’avait pas besoin d’aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l’électricité.
Mais, vous avez raison : on ne connaissait pas le mouvement écologique.

À l’époque, on buvait de l’eau à la fontaine quand on avait soif ; on n’utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter à chaque fois qu’on voulait prendre de l’eau.
On remplissait les stylos plumes dans une bouteille d’encre au lieu d’acheter un nouveau stylo ; on remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir après chaque rasage.
Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.

À l’époque, les gens prenaient le bus, le métro et les enfants prenaient leur vélo pour se rendre à l’école au lieu d’utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi de 24 heures sur 24.

À l’époque, les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d’une année sur l’autre, les crayons de couleurs, gommes, taille crayon et autres accessoires duraient tant qu’ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers à jeter fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rentrée.
Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.

On avait une prise de courant par pièce, pas une bande multi-prises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d’aujourd’hui.

ALORS NE VIENS PAS ME FAIRE CHIER AVEC TON SAC PLASTIQUE ET TON MOUVEMENT ÉCOLOGIQUE !!!!!!

La vieille dame avait raison : à son époque, on ne connaissait pas le mouvement écologique, mais on vivait chaque jour de la vie dans le respect de l’environnement.

voir la suite

Source : Le mouvement écologique | SousEsprit

Recettes alsaciennes

Vous cherchez des recettes pour recettes alsaciennes ? Les Foodies vous présente 238 recettes avec photos à découvrir au plus vite Recettes alsaciennes: 238 recettes à découvrir!

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recette Tarte aux pommes a l'alsacienne

27
  • Recette de cuisine 5.00/5

recette ~ Vacherin glacé alsacien ~

31
  • Recette de cuisine 5.00/5

recette Saucisse blanche alsacienne

85
  • Recette de cuisine 5.00/5

recette Tarte aux pommes à l'alsacienne

31
  • Recette de cuisine 4.67/5

recette Tarte alsacienne

38
  • Recette de cuisine 4.67/5

recette Tartine Alsacienne (compatible dukan)

6
  • Recette de cuisine 5.00/5

recette Tarte aux poires alsacienne

28
  • Recette de cuisine 2.00/5

recette Bettelman pudding alsacien

35
  • Recette de cuisine 3.50/5

recette FLEISCHSCHNACKA RECETTE ALSACIENNE

45
  • Recette de cuisine 5.00/5

recette BAECKEOFFE recette traditionnelle alsacienne

168
  • Recette de cuisine 4.93/5

recette Gâteau aux pommes Alsacien

88
  • Recette de cuisine 5.00/5

recette Bûche gâteau Alsacien.

29
  • Recette de cuisine 5.00/5

recette Choucroute alsacienne

42
  • Recette de cuisine 5.00/5

recette Salade a l alsacienne

27
  • Recette de cuisine 5.00/5

recette TRADITIONNELS BREDELES ALSACIENS

13
  • Recette de cuisine 5.00/5

recette SNACKS ALSACIENS A L'EMBEURREE DE CHOU VERT

10
  • Recette de cuisine 5.00/5

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Source : Recettes alsaciennes

Photo de L’Alsacienne Révoltée.

 

La cité des potiers!

3 h ·

Soufflenheim, est réputée pour son artisanat de poterie vernissée et la fabrication de produits réfractaires.

L’argile y serait extraite et travaillée depuis l‘âge du bronze, mais c’est seulement « Au XII siècle que l’empereur germanique Frédéric Barberousse attribue aux résidents le droit perpétuel de tirer la glaise de la forêt de Haguenau »2. On l’appelle aussi la cité des Potiers ou Töpferstadt en alsacien.

Soufflenheim est célèbre dès l’Antiquité pour la terre argileuse qu’on y extrait et qui sert à façonner des poteries.
Atelier de poterie.

Les premières traces d’activité remontent à 200 avant Jésus-Christ, mais l’existence de potiers dans le village n’est signalée qu’à partir de 1142, époque à laquelle Soufflenheim fait partie (avec le reste de l’Alsace) du Saint-Empire romain germanique.

Le développement de la poterie est encouragé par l’empereur Frédéric Barberousse qui accorde à la guilde locale des potiers le privilège d’extraire gratuitement la glaise de la forêt de Haguenau.

Aujourd’hui, le village compte encore près d’une vingtaine d’artisans et produit des ustensiles surtout destinés à la cuisson de recettes traditionnelles alsaciennes (coq au riesling, baeckeoffe, kougelhopf), les terrines et moules de Soufflenheim

Au nord de l’Alsace, Soufflenheim est une cité ancienne qui s’est développée harmonieusement préservant cadre de vie et environnement tout en se dotant d’équipements et d’infrastructures modernes.

Conserver un tissu de population diversifiée, sans exclusion et permettre à toutes les couches de la population de vivre ensemble dans un cadre harmonieux a été l’axe fort du développement de cette commune.

Au cours de ces dernières années, Soufflenheim s’est dotée des infrastructures indispensables à une ville qui bouge, qui avance de plain pied dans le XXIème siècle : un centre culturel et des services publics de qualité.

Soufflenheim est devenue un véritable espace de vie et de bien-être.

Son golf international

C’est au cœur de l’Europe et de l’Alsace, à 25 minutes seulement de Baden-Baden et de Strasbourg, que Bernhard Langer, le golfeur à la renommée mondiale, a créé un terrain de golf qui cherche son pareil.

Dans un écrin de verdure plein de charme entouré de forêts, permettant de savourer le silence loin de la vie bruyante et trépidante, 33 greens et 18 étendues d’eau dont une partie a été spécialement aménagée vous attendent, harmonieusement insérés dans un paysage de prairies qui respirent le calme.

Langer a déployé de tels trésors de sensibilité pour intégrer le terrain dans cette magnifique nature que le parcours procure un incroyable sentiment de détente et que l’on revient satisfait au clubhouse – quels que soient les résultats obtenus.

En plus du spectaculaire terrain de championnat 18 trous, les membres et invités du domaine de golf qui couvre plus de 140 hectares disposent d’un charmant parcours 9 trous, d’un terrain court de 6 trous ainsi que d’installations d’entraînement généreusement calculées.

La diversité, la beauté du paysage et l’expérience d’une nature à l’état pur – voilà l’image de marque de Soufflenheim. Que vous soyez un compétiteur plein d’ambition ou un jeune débutant – chacun tombe sous le charme de Soufflenheim.

En raison de la conception idéale des parcours du terrain court 6 trous, du terrain 9 trous et du terrain de championnat 18 trous, de nombreux golfeurs de la Bade voisine et de toute l’Alsace ont « élu domicile » à Soufflenheim. Elégance et générosité sont les caractéristiques du clubhouse qui, avec ses plus de 1 200 m², invite à s’attarder et offre, en plus des mets délicats de la cuisine alsacienne, une vue fantastique sur l’ensemble du terrain de golf.

Que peut-on imaginer de plus agréable, après s’être détendu pendant un parcours de golf, que de passer quelque temps sur la terrasse ensoleillée avec des personnes qui partagent les mêmes passions autour d’une bonne boisson bien fraîche?

Fête de la poterie

Traditionnellement la fête de la poterie a lieu tous les premiers dimanches de septembre des années impaires, de 9 h à 18 h.

Au programme : portes ouvertes dans les ateliers de poterie, stands de poteries artisanales locales et d’autres régions de France, stands d’artisanats divers. Animations folkloriques et musicales sur podium, buvettes et restauration.

Sainte-Lucie

Les potiers de Soufflenheim mettent à l’honneur Sainte-Lucie, dont la sainteté, associée à la lumière, est masquée derrière le Christkindel.

Au programme : animations dans leurs ateliers, chemins lumineux à l’intérieur et à l’extérieur de leurs boutiques, grand bûcher à l’Oelberg avec animations musicales et lâcher de lanternes célestes, balades en autocar ancien, jeu de piste, balades nocturnes aux lampions, etc.

Source : Photo de L’Alsacienne Révoltée.

Une nouvelle vie pour la Maison de l’Alsace dès le 1er septembre

La Maison de l’Alsace à Paris va reprendre son activité à partir du 1er septembre, après 4 ans de travaux.

Le 6 juin dernier, les départements du Bas-Rhin et du Haut-Rhin, propriétaires de la Maison de l’Alsace située sur les Champs-Elysées, ont confié la gestion du lieu au groupement d’entreprises locales MDA Partners. Tchapp en avait parlé .

Réouverture

Les salariés de la Maison de l’Alsace, 5 personnes, vont poursuivre l’activité avec la nouvelle structure. L’ambition du nouveau gestionnaire est de transformer cette bâtisse parisienne en vitrine grandeur nature de la région.

Activités touristiques, économiques, culturelles, de nombreux événements seront organisés sur place pour valoriser l’Alsace. Des musées locaux par exemple, sont en discussion pour y installer des oeuvres permanentes.

Avec Strasbourg qui est désormais à 1h46 de Paris en TGV, cette maison pourrait rapidement jouer le rôle de “porte d’entrée” vers de multiples activités. De grandes entreprises régionales et des collectivités ont déjà accepté d’occuper des bureaux permanents dans cette Maison de l’Alsace.

L’immeuble de 2200 m2, 7 étages dont une verrière au dernier avec vue sur la plus belle avenue du monde, était en travaux depuis 2012. Bas-Rhin et Haut-Rhin ont consacré plus de 12 millions d’euros à sa réfection et remise aux normes.

Club et studio

MDA Partners va bâtir un club d’entreprises partenaires de la Maison de l’Alsace. De grandes sociétés, des institutions régionales vont former un noyau de membres pour financer les activités sur place et faire la promotion de leurs services directement sur les Champs-Elysées.

La chaîne de télévision régionale Alsace 20 va implanter un studio pour réaliser, chaque semaine, des émissions depuis Paris, avec entre autres les Alsaciens installés dans la capitale. Tchapp sera également partenaire de la Maison de l’Alsace en diffusant les actualités et événements du lieu.

Maison de l’Alsace, 39 avenue des Champs-Elysées à Paris. Découvrez la carte de la Brasserie L’Alsace, célèbre restaurant de l’avenue, ici.

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L’Alsace-Moselle bientôt autonome ?

L'Alsace-Moselle bientôt autonome ?

 

Le gouvernement français est prêt à reconnaître l’autonomie de l’Alsace et du département de la Moselle, qui formaient avant juin 1919 le Land allemand d’Alsace-Lorraine (Elsaß-Lothringen).
L’ancien parlement régional (Landtag) serait restauré, le bâtiment qui l’abritait est devenu depuis le Théâtre National de Strasbourg.

L’Alsace-Moselle à l’époque allemande avait une constitution votée par le Reichstag le 31 mai 1911 qui accordera une plus grande autonomie au territoire. Bien que l’Alsace-Lorraine fût institutionnellement encore très dépendante de Berlin, elle fut dès lors considérée comme un Land à part entière. Chacun des trois Bezirk d’Alsace-Lorraine possédait en outre un Bezirkstag, une assemblée délibérante, constituée par des élus locaux.

Un référendum sera prévu en juin 2017 sur l’avenir du territoire vers l’autonomie, aux électeurs d’en décider.

Source : L’Alsace-Moselle bientôt autonome ?

Fessenheim est l’une des centrales les plus sûres de France, affirme l’Autorité de sûreté nucléaire

L’Usine de l’Energie

Fessenheim est l’une des centrales les plus sûres de France, affirme l’Autorité de sûreté nucléaire

Ludovic Dupin ,

Publié le 31/05/2016 À 16H53

Alors que la sûreté des installations nucléaires est jugée globalement bonne par l’Autorité de sûreté nucléaire, la controversée centrale de Fessenheim se distingue en se situant plutôt au-dessus de la moyenne.

Fessenheim est l'une des centrales les plus sûres de France, affirme l’Autorité de sûreté nucléaire
Vues aériennes du CNPE de Fessenheim

Comme chaque année, l’Autorité de sûreté nucléaire (l’ASN) a présenté son très attendu rapport sur l’état de la sûreté des installations nucléaires en France. Devant l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifique et technologique (OPECST), elle a résumé son bilan exhaustif de 536 pages. Pierre-Franck Chevet, le président de l’ASN, juge « qu’en 2015 la sûreté d’exploitation des installations nucléaires s’est maintenue à un bon niveau ». Deux centrales font moins bien que la moyenne : Cruas (Ardèche) et Gravelines (Nord). En revanche, au titre des bon élèves, on trouve Penly (Seine-Maritime), Saint-Laurent-des-eaux (Loir-et-Cher) et… Fessenheim (Haut-Rhin).

La centrale alsacienne, la plus ancienne de France et la plus controversée, est promise à la fermeture par François Hollande. D’abord prévue fin 2016, cette mise à l’arrêt est désormais attendue en 2018 quand le réacteur EPR de Flamanville (Seine-Maritime) aura ouvert ses portes. « Le décret d’abrogation de l’autorisation d’exploiter la centrale de Fessenheim sera pris cette année« , a tout de même assuré François Hollande fin avril lors de la 4e conférence environnementale. Plusieurs organisations anti-nucléaire, de part et d’autres du Rhin, aimeraient la voir fermer immédiatement.

Manque de moyens de l’ASN

Du côté du gendarme du nucléaire, on considère que « les performances en matière de sûreté nucléaire et de protection de l’environnement du site de Fessenheim se distinguent de manière positive par rapport à l’appréciation générale que l’ASN porte sur EDF (…)  Les opérations de maintenance réalisées en 2015 ont été bien planifiées et bien gérées (…) L’ organisation du site en matière de protection de l’environnement est satisfaisante (…) Le site fait preuve d’une plus grande rigueur dans la gestion des déchets par rapport aux années précédentes« . Cet avis est loin d’être un blanc-seing – l’ASN n’en donne jamais – puisque l’autorité demande tout de même une vigilance renouvelée vis-à-vis de quelques incidents survenus l’année passée.

Au-delà du cas particulier de Fessenheim, l’ASN appelle dans son rapport à une extrême vigilance car « les enjeux de sûreté et de radioprotection ne font que croître sur la période 2015-2020« . L’autorité fait état de l’avis à rendre pour la prolongation de la durée de vie des réacteurs au-delà de 40 ans, de l’analyse de la cuve de l’EPR de Flamanville ou encore du suivi du déploiement des améliorations post-Fukushima…

Face à cet ensemble de chantiers, Pierre-Franck Chevet a signalé une fois de plus à la représentation nationale que « l’ASN et l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) n’ont pas obtenu pour 2016 les renforts d’effectifs nécessaires pour faire face à ces enjeux ». Depuis 2014, l’ASN n’a obtenu que 30 postes supplémentaires. Suite à l’audition, les députés et sénateurs de l’OPECST ont demandé au gouvernement de créer 150 postes dans les trois ans à venir.

Ludovic Dupin

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Nicolas Sarkozy à Fessenheim : « Si la droite revient, la centrale sera maintenue »

24 mai 2016

« Je suis venu pour manifester mon soutien à toute la filière nucléaire française ». Vingt jours après notre matinée de travail sur l’environnement, l’énergie et la mer, Nicolas Sarkozy, le président des Républicains, était ce lundi en déplacement dans le Haut-Rhin et plus particulièrement à Fessenheim pour rappeler aux salariés et représentants syndicaux de cette centrale mais également à l’ensemble des Français l’engagement de notre famille politique pour le maintien et la consolidation de cette filière garante de notre autonomie en matière énergétique.

L’occasion de contester la décision de François Hollande de fermer la centrale de Fessenheim en 2016.

« Alors là, on aura fait le grand chelem de l’erreur : fermer Fessenheim, ridiculiser nos ingénieurs, détruire la filière nucléaire française, ne plus être au rendez-vous de nos engagements en matière d’émissions de CO2 et devenir dépendant de l’Allemagne qui fait fonctionner des centrales à charbon dont l’Europe ne veut plus », a réagi Nicolas Sarkozy.

« Et tout cela pour faire plaisir à un mouvement d’écologie politique qui explose. Les ouvriers, les ingénieurs, les salariés du nucléaire méritent mieux », a-t-il poursuivi lors d’un échange avec les cadres et salariés de la centrale de Fessenheim. « La France bénéficie d’une avance technologique formidable grâce au nucléaire. La centrale de Fessenheim a eu l’autorisation de l’autorité de sûreté nucléaire de rester ouverte. Monsieur Hollande veut fermer Fessenheim pour des raisons politiques, c’est profondément inadmissible », a déploré Nicolas Sarkozy rappelant que cette centrale permettait à EDF de réaliser un bénéfice annuel de 350 millions d’euros.

« Si la droite revient, la centrale nucléaire de Fessenheim sera maintenue » a souligné à plusieurs reprises Nicolas Sarkozy dans le respect des autorisations des autorités de sûreté, rappelant ainsi l’engagement de notre famille politique qui, en cas d’alternance, abrogera également la décision de François Hollande de réduire d’ici à 2025 la part du nucléaire de 75 à 50% dans la production d’électricité. « Tout le monde sait bien que c’est impossible, c’est un mensonge. Cette loi est une honte, la question de son remplacement sera une des questions urgentes de l’alternance », a réagi Nicolas Sarkozy.

Dans l’échange entre Nicolas Sarkozy et les représentants syndicaux, il a été beaucoup question, en contrepartie de la fermeture anticipée de la centrale de Fessenheim, de la très récente proposition d’indemnisation (80 à 100 millions d’euros) présentée par la ministre de l’Environnement. « Mme Royal insulte l’entreprise avec sa proposition d’indemnisation» a commenté Nicolas Sarkozy alors que la direction d’EDF misait sur un dédommagement d’au minimum 2 milliards d’euros. « Une telle offre cela équivaut à dire que, finalement, votre boulot, votre outil de travail, ça vaut rien. C’est une insulte et ça on ne l’accepte pas », a pour sa part confié à Nicolas Sarkozy le représentant de la CGT.

Comme il l’avait souligné lors de notre matinée de travail sur l’énergie et l’environnement, le président des Républicains a demandé « qu’on arrête de faire de la filière nucléaire un enjeu de la politique politicienne. Si le Général de Gaulle, Georges Pompidou, Valéry Giscard d’Estaing, François Mitterrand, Jacques Chirac et moi-même -six présidents de la République- nous avons constamment fait en matière nucléaire les mêmes choses, c’est que le nucléaire appartient à la France, c’est un de ses atouts majeurs ».

Occasion d’indiquer que François Hollande est le premier président de la République « à rompre le consensus national sur le nucléaire. Il portera une lourde responsabilité », a-t-il relevé, s’inquiétant d’un « plan social gigantesque ».

L’Allemagne étant frontalière de la commune de Fessenheim, Nicolas Sarkozy a également saisi l’occasion pour s’étonner du choix de ce pays d’utiliser, depuis la catastrophe de Fukushima (2011), des centrales à charbon, particulièrement polluantes.

« Nos amis allemands ne peuvent pas, d’un côté, subventionner les énergies renouvelables comme l’éolien et le solaire et dans le même temps, rouvrir des mines de charbon », a-t-il relevé lors d’une rencontre avec les parlementaires, maires et cadres Les Républicains du Haut-Rhin.

« Parce que, explique-t-il, les émissions de gaz à effet de serre qui viennent de l’exploitation à outrance des énergies fossiles, c’est toute l’Europe qui en est responsable. On va se retrouver dans une situation où nous recevrons toutes les pollutions venues des centrales à charbon allemandes alors que nous, nous fermerons la centrale de Fessenheim qui n’émet pas de gaz à effet de serre », relève Nicolas Sarkozy.

« Je suis venu pour manifester mon soutien à toute la filière nucléaire française ». Vingt jours après notre matinée de travail sur l’environnement, l’énergie et la mer, Nicolas Sarkozy, le président des Républicains, était ce lundi en déplacement dans le Haut-Rhin et plus particulièrement à Fessenheim pour rappeler aux salariés et représentants syndicaux de cette centrale mais également à l’ensemble des Français l’engagement de notre famille politique pour le maintien et la consolidation de cette filière garante de notre autonomie en matière énergétique.

Source : Nicolas Sarkozy à Fessenheim : « Si la droite revient, la centrale sera maintenue »

AVIS DE DECES au Domaine Valentin Zusslin

 

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Un grand homme

Jean-Marie Zusslin nous a quitté jeudi 26 mai prématurément à l’age de 64 ans !
Fils de Valentin Zusslin, 12ème génération, il allait fêter son 50ème millésime, ses 20 ans en agriculture biodynamique.
Il restera dans les mémoires de chacun comme étant un homme charismatique, dynamique, passionné par son vignoble et ses terroirs, joyeux, et toujours prêt à partager ses expériences avec les collègues.
Un homme de la terre, fier de ses racines et toujours à l’écoute de la nature !
Il va laisser un grand vide dans le vignoble alsacien et surtout au Domaine Valentin ZUSSLIN qu’il a dirigé de mains de maître jusqu’en 2008.
Son combat face à sa maladie a été exemplaire pendant 4 semaines. Il est parti serein et en paix !
Mme Arlette Zusslin son épouse, Marie et Jean-Paul Zusslin ses enfants vous font part d’un dernier Adieu le mercredi 01 juin à 14.30 à Orschwihr.
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Photo de Domaine Valentin Zusslin.
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Valentin ZUSSLIN, c’est un domaine d’exception qui pratique la biodynamie dans un profond respect de l’environnement, en ne cessant jamais de se remettre en question. Leur vins sont d’une pureté et d’un équilibre irréprochables. Avis aux amateurs !

Découvrez l’interview de Jean-Paul Zusslin vigneron au domaine Valentin Zusslin en Alsace et soucieux du respect de l’environnement.
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Stephan Reinhardt I am terribly sorry to read about the passing of Jean-Marie Zusslin and send you my deepest condolences. Your father has developed one of the most beautiful wine domaines in Alsace and his spirit lives on in you, in every plant and every single bee and bird that makes your vineyards one of the most beautiful in all Alsace and beyond. That’s something I know you will keep and pass on to your children one day.

 

Bruno Terrier

Bruno Terrier Condoléances, courage.

Photo de Domaine Valentin Zusslin.

 

 

 

Indemnisation pour Fessenheim :

12932827_534011900139228_8363167970816812017_nla lettre de Ségolène Royal au PDG d’EDF, Énergie – Environnement

La centrale nucléaire de Fessenheim devrait fermer en 2018. – SIPA
EXCLUSIF + DOCUMENT – Le gouvernement proposerait une indemnisation de 80 à 100 millions d’euros à EDF pour la fermeture de la centrale de Fessenheim. Un montant vécu comme une provocation par l’électricien.

Le feuilleton de la fermeture de Fessenheim continue, mais cette fois sur le volet financier. La ministre de l’Energie, Ségolène Royal, évalue entre 80 et 100 millions d’euros, selon les premiers calculs de ses services, le montant de l’indemnisation auquel EDF pourrait prétendre en contrepartie de la fermeture anticipée des deux réacteurs de la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin), indiquent plusieurs sources, confirmant une information du « Monde ».

La ministre a envoyé à cet effet un courrier, début mai, au PDG d’EDF, Jean-Bernard Lévy, qui en a fait état à son conseil d’administration (« Les Echos » ont pu obtenir une copie de cette lettre, à lire ci-dessous). Un montant qualifié de « provocation », notamment parmi les élus du personnel. « Ce courrier est sidérant. C’est une injure à l’entreprise et à ses personnels », estime Maxime Villota, administrateur salarié d’EDF (parrainé par la CGT). « L’Etat nous reprend d’une main ce qu’il nous a donné de l’autre », estime l’un d’eux, en référence au projet d’augmentation de capital de 4 milliards d’euros annoncé par l’Etat en avril.
EDF parle d’un montant « en milliards » d’euros

Il y a deux ans, les députés Hervé Mariton (Les Républicains) et Marc Goua (PS) avaient, dans un rapport d’information, évalué à 4 milliards d’euros le montant de l’indemnisation auquel pouvait prétendre EDF. Un montant alors qualifié de « calculs farfelus » par Ségolène Royal.

Mandaté par la ministre il y a quelques semaines, le délégué interministériel chargé de la fermeture de la centrale de Fessenheim, Jean-Michel Malerba, a établi le calcul du gouvernement en se fondant notamment sur les prix de marché de l’électricité, au plus bas. « Mais même si on met tous les paramètres les plus négatifs possibles, on ne voit pas comment un tel chiffre a pu sortir », estime une source au sein d’EDF.

« Le montant proposé n’est pas négligeable. Nous sommes dans un dialogue constructif depuis octobre 2015 et ce dialogue va se poursuivre », répond désormais l’entourage de la ministre de l’Energie. L’électricien public prévoit d’envoyer sa propre copie dans les deux semaines qui viennent, avec un montant qui se comptera « en milliards », indique une source au fait du dossier.
Bras de fer tendu

Le bras de fer s’annonce tendu. Pour prendre d’ici à la fin de l’année un décret qui abrogera l’autorisation d’exploiter Fessenheim, comme l’a annoncé Ségolène Royal et afin de respecter la promesse de campagne de François Hollande, EDF et l’Etat doivent s’accorder pour signer une convention d’indemnisation. Celle-ci sera soumise à l’avis des partenaires sociaux de l’électricien, mais elle devra surtout être ratifiée en conseil d’administration.
Fessenheim, la plus ancienne centrale française

En service depuis 1977, le site de Fessenheim, dans le Haut-Rhin, est la plus ancienne centrale nucléaire en activité en France. Lors de la campagne présidentielle de 2012, François Hollande avait promis sa fermeture. Son arrêt doit suivre la mise en route du futur réacteur EPR de Flamanville, qui devrait être lancé fin 2018.

Car si l’électricien est détenu à 85% par l’Etat, il compte des actionnaires minoritaires. Des énergéticiens suisses et allemands disposent en outre de « droits de tirage » sur un tiers de la production d’électricité de la centrale de Fessenheim. Et, sur le plan juridique, EDF s’appuie sur le Conseil constitutionnel, qui a estimé que le plafonnement des capacités installées nucléaires au niveau actuel (63,2 gigawatts), prévu par la loi de transition énergétique, ne faisait « pas obstacle » à ce qu’EDF puisse prétendre à « une indemnisation du préjudice subi ».
La lettre envoyée par Ségolène Royal à Jean-Bernard Lévy
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Véronique Le Billon
@VLeBillon
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Mulhouse | « On vole un acquis social aux Alsaciens et Mosellans »

Source : Mulhouse | « On vole un acquis social aux Alsaciens et Mosellans »
Régime local « On vole un acquis social aux Alsaciens et Mosellans »
La pérennité du Régime local d’assurance maladie d’Alsace et de Moselle est en danger, selon les représentants syndicaux et administrateurs du système qui appellent à manifester, samedi matin, à Strasbourg, Mulhouse et Metz.
Aujourd’hui 05:00 par Édouard Cousin , actualisé Hier à 23:06 Vu 21443 fois
« Le statu quo proposé par les parlementaires » sur le Régime local de l’assurance maladie est vu comme « un retour en arrière ».Photo L’Alsace/
« Le statu quo proposé par les parlementaires » sur le Régime local de l’assurance maladie est vu comme « un retour en arrière ».Photo L’Alsace/

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Le Journal Officiel a publié, samedi, le décret relatif au Régime local d’assurance maladie d’Alsace et de Moselle. « Les parlementaires ont proposé un statu quo » , remarque Liliane Carrere, secrétaire régionale de la CFE-CGC et administratrice de la structure, avant de s’emporter : « Mais soyons clairs, ce statu quo signifie que l’on va revenir en arrière. »

Et Antoine Fabian, lui aussi administrateur, et membre de la CFTC, d’ajouter avec plus de véhémence. « Il faut appeler un chat un chat : ce qui se passe est un scandale ! On est en train de voler un acquis social aux Alsaciens et aux Mosellans. […] Ces derniers vont tomber de haut quand ils vont comprendre ce qui se met en place. »
« L’appel de la dernière chance »

D’une même voix, les deux syndicalistes et membres du conseil d’administration du Régime local ont appelé à la mobilisation, hier matin à Mulhouse, aux côtés de représentants de la CGT, de la CFDT et de l’Unsa. Ils invitent les Alsaciens et les Mosellans à se mobiliser, samedi matin, à Strasbourg, Mulhouse et Metz. « C’est l’appel de la dernière chance. »

Tous reconnaissent que le dossier est techniquement compliqué à maîtriser pour le grand public. « C’est pour cela que les gens ne mesurent pas les conséquences sociales de ce qui se passe actuellement », regrette Éliane Lodwitz, de la CGT.
Contre « le lobby des banques et assurances privées »

Selon les syndicalistes, ceux qui vont « trinquer » , ce sont les conjoints, les femmes seules avec des enfants, les aînés, les invalides, les « précaires ». « Pour nous, la solidarité intergénérationnelle est primordiale. Ce que nous constatons, c’est que le lobby des banques et des assurances privées s’est mis en marche » , considère Alain Kauffmann, de la CFTC.

« Il aurait fallu généraliser notre système – qui fonctionne et qui est bénéficiaire, rappelons-le – à toute la France » , estime Antoine Dugo, de la CFDT, reprenant une idée largement partagée. Dénonçant quant à elle « l’État jacobin et les postures de certains élus qui préparent des arguments électoraux pour les prochai-nes échéances » , Liliane Carrere com-plète, inquiète : « Je crains que cela ne soit qu’un début… Je sens de certains cherchent à faire exploser le système et à toucher au droit local. »

PARTICIPER Manifestation intersyndicale de défense du Régime local d’assurance maladie, ce samedi 21 mai. Départ du cortège à 10 h de la place Kléber à Strasbourg, de la place de la Bourse à Mulhouse et de la place de la préfecture à Metz.

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Aujourd’hui 05:00 par , actualisé Hier à 23:06 0 commentaire vu 49 fois

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Vos commentaires

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Gigilacigogne 18.05.2016 | 18h54
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@asuivre

Le but est justement de nous embrouiller.

Vous avez raison, ce serait vachement bien, qu’un ou une journaliste nous fasse un exposé de toutes les possibilités d’assurance maladie en France et surtout en Alsace ou le régime local + ou – se rajoute.

Un défi intéressant pour tous. Merci

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asuivre 18.05.2016 | 18h19
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Je n’ai rien compris!!!

A quand un article complet décrivant le régime spécial que tout le monde puisse comprendre son fonctionnement?

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JIMILI 18.05.2016 | 18h11
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Normalement

en tant que région libérée, on a le choix!

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gallileo61167 18.05.2016 | 17h27
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MDR

Faites comme de plus en plus de gens : fuyez ce pays où les soi-disants « dirigeants » rackettent ceux qui travaillent ou ont travaillé toute leurs vies !!!!

Avec les milliards qui rentrent dans les caisses de l’état (TVA, taxess, impôts et autres, ….) vous n’allez pas me dire qu’il n y a pas d’argent.

Il y en a, mais distribué à droite et à gauche…..

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Wirsher 18.05.2016 | 16h05
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@Corvus.anonymus

On nous vole une chose légitime :Le droit de décider nous même, de ce qui ne concerne que nous !On nous vole notre autonomie quoi, comme pour la méga-région.

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Wirsher 18.05.2016 | 16h04
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@Corvus.anonymus

Le régime général étant à 15% – 15%. Adapter notre régime local pour éviter qu’il soit à 25% – 5%, le rapprocherait du régime général 😉

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Wirsher 18.05.2016 | 16h01
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18.05.2016 | 10h18

Ne pas confondre empots et cotisations sociales …

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Marcellus-Marcellus 18.05.2016 | 15h29
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amusant

j’observe…

ayant fini ma carrière en Alsace sans bénéficier du régime local, je m’amuse à voir ceux qui croient encore que ce sont les gens au pouvoir ( dénommés aussi socialistes, dit-on) les fautifs.

attendons donc l’alternance et vous verrez comment l’affaire va être vite réglée: il suffit pour s’en convaincre de regarder les programmes des postulants à la primaire du part LR…

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patpatson 18.05.2016 | 15h18
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Pas que les députés PS qui aquiescent les républiqains aussi !

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Corvus.anonymus 18.05.2016 | 14h46
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On ne vole rien du tout aux Alsaciens !

Il faut arrêter de raconter des sottises !

Juridiquement, le conseil constitutionnel a jugté que toute modification du droit local ne peut consister qu’en son abrogation ou son rapprochement du régime intérieur.Le régime intérieur c’est la complémentaire privée généralisée.De deux choses l’une, soit on veut préserver le régime local et on laisse le statu quo, soit on tente de le modifier et on le fera exploser au seul profit des mutuelles privées.La position des syndicalistes qui ne voient pas plus loin que le manche de leur pancarte est donc parfaitement irresponsable et – peut-être une fois n’est pas coutume – les politiques qui prônent le statu quo ont parfaitement raison.

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JPJP 68000 18.05.2016 | 14h18
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louveteau 11h57 dit « …En 2017 tout sera dtricoté… »…

il croit sans doute encore…. au Père Noël !

« les nouveaux » en 2017 LR/PS viendront pour « profiter » pas pour travailler voyons ! ….vous n’y pensez pas ? !

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jenmaist68 18.05.2016 | 13h16
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18.05.2016 | 10h59

Les frontaliers étant à Lamal peuvent faire le choix de rester lors de la retraite.

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loveteur 18.05.2016 | 11h57
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Sauvons nos spécificités !

C’est un premier volet du droit local qu’ils essaient de nous enlever. Bye bye les élus PS, vos jours sont comptés. En 2017 tout sera détricoté, mais uniquement avec des élus courageux, ce qui manque cruellement.

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Cracboumhuuu 18.05.2016 | 10h59
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Mézenfin, c’était inscrit de facto dans la mise en place d’un régime privé et libéralisé d’assurance maladie obligatoire (la fameuse complémentaire santé).

Obligatoire signifie un gisement à pognon. Nous n’en sommes pas encore aux fonds de pensions à l’américaine, mais ça en prend le chemin avec les bancassurances et autres nouveaux arrivants.

Parmis tout ceux qui semblent aujourd’hui surpris que le régime alsacien soit attaqué parce que des intérêts privés ont les dents longues, combien, à l’époque, applaudissaient aux assurances dites « enfin libres » quand on a institué les complémentaires ?

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Gigilacigogne 18.05.2016 | 10h59
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Discrémination

Les frontaliers retraités ne peuvent pas s’assurer en Suisse. Ils sont obligatoirement affiliés au Régime français.

Même en ayant travaillé en France et cotisés pendant des années,parcequ’ils ont terminés leur carrière en Suisse, ils ne sont pas admis au Régime Local. C’est de la discrémination.

Alors pour les frontaliers cela n’à aucune importance si les socialiste élimine le régime local.

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jenmaist68 18.05.2016 | 10h32
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Pour les frontaliers rien de mieux que LAMAL; on pourra peut-être l’étendre à l’ensemble de l’Alsace-Moselle.

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Gigilacigogne 18.05.2016 | 10h18
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Deux poids, deux mesures!

Les frontaliers, ne sont pas admis au rémime local. Ces gens là, les nantis, comme certains le disent, ont toujours payés leurs impôts en France. Alors pourquoi n’ont-il pas droit au régime local en tant que Français?

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Profasser Schisshislaputzer 18.05.2016 | 09h29
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Les députés PS acquièscent

Cet « accord » plutôt défavorable au régime local a reçu le soutien des députés PS d’Alsace et de Moselle, notamment celui de Philippe Bies, qui n’y trouve rien à redire.

Bravo à ces élus remarquables à tous points de vue!

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LEcitewages 18.05.2016 | 09h27
avatar de l’utilisateur

Bravo les socialos!!!! ça fait longtemps que ça les chatouilles!!!! mais

bientôt……au revoir.

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JPSCHMITT 18.05.2016 | 08h54
avatar de l’utilisateur
pedagogie

si vous voulez sensibiliser le grand public soyez pédagogues au lieu de seulement crier « au loup ».

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rêveur 18.05.2016 | 08h21
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Antoine Dugo a raison

« Il aurait fallu généraliser notre système – qui fonctionne et qui est bénéficiaire, rappelons-le – à toute la France »

Où sont nos élus ????

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dany.sutterlin 18.05.2016 | 08h03
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regime local

Quand il y a quelques mois les frontaliers ont ete obligés de passer a la securité sociale certains ce sont acharner contre eux sur les forums et moi je savais qu’un jour cela allait arriver qu’ils perdraient leurs avantages sociaux avec la fusion des regions.Et ben je vous dit bien venu au club vous allez resentir la meme chose que nous le sentiment d’etre une vache a lait puisque forcement vous allez payer votre mutuelle plus chère.L’union fait la force dit on.bonne journée.

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JPJP 68000 18.05.2016 | 07h07
avatar de l’utilisateur
Régime ass maladie Alsace Moselle ? pffff !!!…

…Riechert ne voulait même pas du sigle ACALIE proposé par la commission ad’hoc. C’était faire un trop grand rappel de leur « régions naturelles » Alsace, Moselle, etc… dans l’imaginaire des gens. Dans la nouvelle région GRAND EST…. le « Régime ass maladie Alsace Moselle » ça fait vraiment tache dans ce grand ensemble artificiel, ce Régime particulier est donc appelé… à mourir étouffé par « la modernité connectée » aux autres régions de France !

s

N’OUBLIEZ PAS CES NOMS SURTOUT SI CE SONT CEUX DE VOS DEPUTES…. CE SONT CEUX QUI ONT TOURNE LE DOS A NOTRE BOSS PAR INTERET PERSONNEl ET SIGNATAIRES DE LA LISTE AUX PRIMAIRES POUR FRANCOIS FILLON.

Gilbert BARBIER, Sénateur du Jura – Philippe BAS, sénateur de la Manche – Jacques-Alain BENISTI, Député du Val de Marne – Marcel BONNOT, député du Doubs – Valérie BOYER, députée des Bouches du Rhône – Xavier BRETON, député de l’Ain – François-Noël BUFFET, sénateur du Rhône – Alain CADEC, député européen – Caroline CAYEUX, sénateur de l’Oise – Jean Noël CARDOUX, sénateur du Loiret – Jérôme CHARTIER, député du Val d’Oise – Phillippe DALLIER, sénateur de Seine Saint Denis – Michel DANTIN, député européen – Dominique de LEGGE, sénateur de la Sarthe – Louis-Jean de NICOLAŸ, sénateur de la Sarthe – Henri de RAINCOURT, sénateur de l’Yonne – Isabelle DEBRE, sénateur des Hauts de Seine – Bernard DEBRE, député de Paris – Rémi DELATTE, député de la Côte d’Or – Catherine DEROCHE, sénateur du Maine et Loire – Chantal DESEYNE, sénateur d’Eure et Loir – Eric DOLIGE, sénateur du Loiret – Dominique DORD, député de la Savoie – Marianne DUBOIS, députée du Loiret – Louis DUVERNOIS, sénateur des Français de l’Etranger – Annie GENEVARD, députée du Doubs – Guy GEOFFROY, député de Seine et Marne – Georges GINESTA, député du Var – Colette GIUDICELLI, sénateur des Alpes maritimes – Serge GROUARD, député du Loiret – Michel HEINRICH, député des Vosges – Patrick HETZELD, éputé du Bas Rhin – Philippe HOUILLON, député du Val d’Oise – Marc JOULAUD, député européen – Jean-François LAMOUR, député de Paris – Elisabeth LAMURE, sénateur du Rhône – Alain LEBOEUF, député de la Vendée – Isabelle LE CALLENNEC, députée d’Ille et Vilaine – Pierre LELLOUCHE, député de Paris – Dominique LE MENER, député de la Sarthe – Jean Claude LENOIR, sénateur de l’Orne – Céleste LETT, député de la Moselle – Gérard LONGUET, sénateur de la Meuse – Véronique LOUWAGIE, député de l’Orne – Didier MANDELLI, sénateur de la Vendée – Thierry MARIANI, député des Français de l’Etranger – Philippe Armand MARTIN, député de la Marne – Alain MARTY, député de Moselle – Jean Claude MATHIS, député de l’Aube – Jean-Claude MIGNON, député de Seine et Marne – Alain MILON, sénateur du Vaucluse – Bernard PERRUT, député du Rhône – François PILLET, sénateur du Cher – Hugues PORTELLI, sénateur du Val d’Oise – Sophie PRIMAS, sénateur des Yvelines – Christophe PRIOU, député de la Loire Atlantique – Frédéric REISS, député du Bas Rhin – Bruno RETAILLEAU, sénateur de la Vendée – Sophie ROHFRITSCH, députée du Bas Rhin – Michel SAVIN, sénateur de l’Isère – Jean-Marie SERMIER, député du Jura – Bruno SIDO, sénateur de la Haute Marne – Michel SORDI, député du Haut Rhin – Claude STURNI, député du Bas Rhin – Lionel TARDY, député de la Haute Savoie – Michel TERROT, député du Rhône – Guy TEISSIER, député des Bouches du Rhône – Pascal THEVENOT, député des Yvelines – Hilarion VENDEGOU, sénateur de la Nouvelle Calédonie – Michel VASPART, sénateur des Côtes d’Armor – Jean Pierre VOGEL, sénateur de la Sarthe

Anciens parlementaires signataires (20)

Patrick BEAUDOUIN, Ancien député du Val de Marne – Marc BERNIER, ancien député de la Mayenne – Patrice CALMEJANE, ancien député de Seine Saint Denis – Antoine CARRE, ancien député du Loiret – Jean François CHOSSY, ancien député de la Loire – Jean Patrick COURTOIS, ancien sénateur de Saone et Loire – Alain COUSIN, ancien député de la Manche – Jean Yves COUSIN, ancien député du Calvados – Roland du LUART, ancien sénateur de la Sarthe – André FLAJOLET, ancien député du Pas de Calais – Claude GAILLARD, ancien député de Meurthe et Moselle – François GOULARD, ancien député du Morbihan – Françoise HOSTALIER, ancien député du Nord – Michel LEJEUNE, ancien député de Seine Maritime – Henriette MARTINEZ, ancien député des Hautes Alpes – Gilbert MEYER, ancien député du Haut Rhin – Hervé NOVELLI, ancien député de l’Indre et Loire – Jean Pierre SCHOSTECK, ancien député des Hauts de Seine – Georges SIFFREDI, ancien député des Hauts de Seine – Catherine SOULLIE, ancien député

ELSASSLAND a partagé la photo de Les Alsaciens Réunis

Commentaire historique de Friedrich von Steinbach, à propos de cette forteresse historique pour les Alsaciens si prompts à oublier leur propre histoire….
Neuf Brisach à été construite en 1697, suite à la perte de la forteresse impériale de Brisach. Le but de cette forteresse était double :
1) établir une ligne de fortifications sur le Rhin, afin d’empêcher les Habsbourg de reprendre leurs terres natales en Alsace centrale Autriche antérieure);
2) couper toute possibilité de contact entre les Impériaux et les villes impériales libres d’Alsace centrale (Colmar par ex.) en train de se battre contre l’annexion française de 1648, afin de sauvegarder leurs libertés.
Pendant ce temps, Louis XIV détruisait les villes impériales libres, les châteaux-forts des Vosges, la séculaire résidence impériale des empereurs Hohenstaufen de Haguenau, incendiait la cathédrale de Spire, St Denis des empereurs), etc…
Tout cela a valu dans la région à Louis XIV le surnom de « Raeuberkoenig » (roi- brigand) et non de « Sonnenkoenig » (roi- soleil).
On estime qu’environ 35% de la population alsacienne a été tuée par l’intervention de ce roi.
M’enfin, qu’elle idée de se révolter contre un conquérant et de toute façon Neuf Brisach, c’est si formidable, surtout lorsque les Alsaciens sont amnésiques à ce point…
Michel Krempper

Photo de Les Alsaciens Réunis.
Les Alsaciens Réunis

De quel village en Alsace s’agit-il ?

L´immersion en maternelle pour sauver l’alsacien, plusieurs conferences en Alsace | F I L A L

Selon une enquête de 2012 (OLCA) seul 3% des enfants sont encore dialectophones en Alsace. Autant dire que nous sommes à 5 minutes de l’extinction. Si d’aucuns soulignent l’import…

Source : L´immersion en maternelle pour sauver l’alsacien, plusieurs conferences en Alsace | F I L A L

L´immersion en maternelle pour sauver l’alsacien, plusieurs conferences en Alsace

TK-Drapo FranceAllemagne

Selon une enquête de 2012 (OLCA) seul 3% des enfants sont encore dialectophones en Alsace. Autant dire que nous sommes à 5 minutes de l’extinction. Si d’aucuns soulignent l’importance de sauvergarder une langue millénaire ADN de l’identité alsacienne, peu ont fait l’effort de réfléchir aux moyens d’y parvenir. Si l’OLCA a développé des outils innovants et sans précédent à l’appui des jeunes dialectophones, l’Office ne dispose pas pour le moment de moyens de créer de nouveaux locuteurs.  Or les données empiriques et les experiences observées dans le monde et résumées dans un rapport sans précédent des Nations Unies daté du 7 mars 2005, ne laissent aucun doute.  N’importe quelle langue peut être sauvée et nous savons comment!  Une des constation majeure est que c’est bien la politique qui dicte quelle langue nous allons parler demain et que la volonté populaire reste secondaire.

Quelles langues ont ete sauvées où et comment ? C’est ce que  Thierry Kranzer, président des Alsaciens de New York et President du Fonds international pour la langue alsacienne (FILAL) se propose de vous démontrer. Il s’appuira sur le livre qu’il a publie en 2015 sur les langues régionales de France et son experience d’attaché de presse des Nations Unies qui a couvertdes reunions intergouvernementales sur les liens entre langues minoritaires et croissances economiques. En France 25 départements disposent de maternelles en immersion totale en langue régionale qui concerne 10 000 enfants. L’Alsace a une révolution linguistique de retard!

Il interviendra à

Saint-Louis au Salon du Livre, le 23 avril (horaire à preciser)

Haguenau le 25 avril à 20 H , à l’école ABCM, rue Ettore Buhatti

Colmar le 26 avril à 19 H 30 à la MJC, 17 rue Schlumberger

Selestat, le 28 avril (Lieu et heure a préciser)

Claude Vigee 2

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Le dialecte n’est une langue perdue qu’aux yeux de qui s’évertue à le perdre d’entrée de jeu; il est déjà mort au regard de celui qui la durement condamné d’avance à l’extinction finale – puisque tel est son bon plaisir, le désir caché de son âme… A ce refus catégorique opposé à la parole maternelle reniée, on ne peut répondre honnêtement que par l’option inverse : en pariant, contre toute apparence raisonnable, que la vie prendra le dessus malgré tout, victorieuse à l’issue du combat inégal contre l’aphasie intérieure imposée, du dehors, à l’âme enfantine exilée loin d’elle même au cours de son incarnation d’adulte.” Claude VIGEE

 

 

 

Alsace d’Abord »

Donc voilà un petit post afin de faire taire les rumeurs et SURTOUT, « avant que les esprits ne s’échauffent »…

Hier soir, j’ai donc assisté à une petite réunion en présence de Jacques Cordonnier, pour ceux qui ont un doute, oui il s’agit bien du mouvement « Alsace d’Abord »

Comme je le dis toujours, pour se faire une opinion, vaut mieux aller voir par soi-même, bref….

Le résultat des courses, c’est que je suis extrêmement surpris, rien à voir avec ce que l’on a pu me raconter, j’ai vu un homme calme, clairvoyant avec un esprit ouvert sur l’Alsace, l’Europe, le Monde, l’Univer, etc…

Oublier l’Univer, mais vous l’aurez compris, c’était sympa !
Pour conclure je dirais ………. Affaire à suivre émoticône like

Photo de Dominique Greder.

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Eric STRAUMANN-ma question écrite à Manuel VALLS

Eric STRAUMANN

Eric STRAUMANN

Député de la première circonscription du Haut-Rhin (Colmar, Neuf-Brisach) – Président du conseil départemental du Haut-Rhin – Permanence parlementaire : 82 rue de la Cavalerie 68000 COLMAR (uniquement sur rdv) – Contact au 06 81 68 79 61 – Courriel sous : ericstraumann@yahoo.fr

Réforme territoriale : ma question écrite à Manuel VALLS

Publié le 29 Mars 2016

Réforme territoriale : ma question écrite à Manuel VALLS

Ministère interrogé : PMI – Premier ministre

Question n° 13-00040

M. Éric Straumann interroge M. le Premier ministre sur les suites données à la recommandation du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux du Conseil de l’Europe adoptée le 22 mars 2016, portant sur l’état de la démocratie locale et régionale en France. Ce rapport a été réalisé alors que la France était en pleine réforme territoriale et le processus français suscite quelques critiques quant au respect de la démocratie locale. En effet, si ce rapport souligne les progrès réalisés dans notre processus de décentralisation en France, en particulier, en matière de coopération entre collectivités territoriales et de coopération transfrontalière, ainsi qu’en matière financière grâce à une part croissante des ressources propres dans le budget des collectivités, le Congrès exprime son inquiétude sur les procédures d’adoption de la loi n° 2015-29 du 16 janvier 2015 sur le redécoupage régional. Il dénonce le fait que les régions n’ont pas été consultées préalablement de manière effective. Il souligne l’insuffisance de consultation des représentants des collectivités territoriales pour les décisions les concernant directement et la trop faible sollicitation des représentants d’associations de pouvoirs locaux, notamment en matière financière. Enfin, il trouve peu claire la répartition des compétences entre les différents niveaux d’autorités locales. En conséquence de quoi, le Congrès a demande au Comité des Ministres d’inviter les autorités françaises à se pencher sur les 6 points suivants : 1. élaborer une législation définissant les procédures de consultation des représentants des collectivités locales et régionales afin que cette consultation soit effective, c’est-à-dire menée en temps utile et de façon appropriée, pour toutes les questions concernant directement ces collectivités y compris en matière financière, et a fortiori la modification de leurs limites territoriales ; 2. réviser le système de répartition des compétences entre les quatre niveaux d’autorités territoriales infranationales de façon à éviter tout chevauchement de compétences en renforçant les dispositifs déjà prévus par la loi du 7 août 2015 portant nouvelle organisation du territoire de la République ; 3· réviser la législation en vigueur concernant les conditions posées en matière de fiscalité locale et notamment la fixation des taux par les collectivités afin de donner plus de latitude à ces collectivités en ce qui concerne leurs ressources propres, et éviter ainsi toute tendance de recentralisation en la matière ; 4· envisager la réintroduction de la clause générale de compétence afin de respecter la latitude dont disposent les collectivités locales pour exercer leur initiative pour toute question non exclue de leur compétence par la loi ; 5· réviser le système de péréquation de façon à ce qu’il remplisse effectivement l’objectif de réduction des écarts de ressources entre les collectivités locales, et réponde aux exigences de transparence, en favorisant un système de péréquation interniveaux ; 6· considérer la ratification des articles 3, paragraphe 2, et 7, paragraphe 2 de la Charte dans la mesure où les dispositions législatives en vigueur en France à cet égard rendent la situation de lege conforme aux exigences posées par ces articles.

Rédigé par Eric STRAUMANN

Pâques et la résurrection du Christ

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Principale fête chrétienne, Pâques rappelle la résurrection du Christ.

Les Évangiles nous disent que Jésus-Christ aurait été crucifié à Jérusalem une veille de sabbat, donc un vendredi, et que ce jour était aussi celui de la «préparation» de la Pâque juive, donc le 14 du mois de Nissan dans le calendrier hébraïque. Ces deux éléments coïncident en l’an 30 de notre ère, le 7 avril.

La résurrection du Christ, le troisième jour de sa mort, serait donc datée de la Pâque suivante, le 9 avril 30.

Passion et résurrection du Christ

 

La Pâque juive (au singulier) célèbre la fuite d’Égypte et la sortie de l’esclavage, selon le livre de l’Exode, dans la Bible. Le mot vient de l’hébreu Pesah ou Pessah qui signifie passage.

Au moment de s’enfuir d’Égypte sous la conduite de Moïse, les Hébreux se contentèrent de pain sans levain pour ne pas perdre de temps. Depuis lors, chaque année, la Pâque est l’occasion pour les juifs de commémorer cet événement. Le pain azyme (du grec a- privatif et zymé, levain) figure encore parmi les rituels de cette fête, ainsi que les herbes amères et l’agneau des bergers.

Les chrétiens, qui s’inscrivent dans la continuité du judaïsme, célèbrent également la fuite d’Égypte à leur manière mais à cette Pâque juive, ils en ajoutent une autre qui leur est propre et est célébrée le même jour : la résurrection du Christ. Ils célèbrent donc lesPâques (au pluriel).

Pâques (avec un s) est la fête la plus importante dans toutes les religions chrétiennes car elle commémore la résurrection du Christ, autrement dit l’événement fondateur du christianisme.

Ainsi que l’écrit Saint Paul dans sa première lettre aux Corinthiens : «si Christ n’est pas ressuscité, notre prédication est vide et vide aussi votre foi (…). Et si Christ n’est pas ressuscité, votre foi est illusoire, vous êtes encore dans vos péchés (…). Si nous avons mis notre espérance en Christ pour cette vie seulement, nous sommes les plus à plaindre de tous les hommes» (1 Co 15.14-19).

Un comput savant

 

La célébration de Pâques a été fixée au dimanche suivant la pleine lune après l’équinoxe de printemps. En conséquence, elle varie selon les années entre le 22 mars (début du printemps) et le 29 avril.

C’est le résultat d’un calcul savant (comput) établi au concile oecuménique de Nicée(325) qui prend en compte la date supposée de la résurrection. Qui plus est, les commémorations orthodoxe et catholique sont le plus souvent décalées de quelques jours suite à la réforme du calendrier par le pape en 1582.

Avant la fête de Pâques, qui commémore la résurrection du Christ, les chrétiens vivent traditionnellement une période consacrée à la prière, au partage et à la pénitence : le Carême (le mot vient du latin quadragesima dies qui signifie quarantième jour, car cette période dure quarante jours, non compris les dimanches).

Entrée de Jésus à Jérusalem

 

Les Évangiles racontent que Jésus-Christ venait d’arriver à Jérusalem pour célébrer la Pâque juive au milieu de ses disciples.

Il entre dans la Ville sainte sous les acclamations de la foule (ce souvenir est commémoré par le dimanche des Rameaux, qui précède celui de Pâques). Dans les jours suivants, il s’en prend aux marchands du Temple, les chassant à coup de lanières de ce lieu sacré. Les grands prêtres du Temple, jaloux et inquiets, le dénoncent aux Romains.

La dernière Cène

 

Pressentant sa mort, Jésus réunit ses disciples pour un dernier repas ou Cène. En un lieu connu aujourd’hui comme le Cénacle, il leur annonce le sort qui l’attend. Il leur lave aussi les pieds en un témoignage d’humilité et de fraternité. Il consacre enfin le pain et le vin, les transformant selon ses propos en sa chair et en son sang. «Ceci est mon corps», dit-il du pain (Luc, XXII, 19) ; «Ceci est mon sang, le sang de l’Alliance, qui va être répandu pour une multitude», dit-il du vin (Marc, XIV, 24).

Dans toutes les confessions chrétiennes, le rituel de la dernière Cène est reproduit au cours des offices religieux avec des hosties (pain azyme) ou du pain normal que les fidèles sont invités à consommer, parfois avec une larme de vin. C’est le sacrement d’eucharistie.

Arrestation et condamnation de Jésus

 

Après la Cène, Jésus-Christ se retire pour prier sur le mont des Oliviers, dans le jardin de Gethsémani («pressoir à olives» en araméen, la langue commune de la Palestine de l’époque). Dans l’angoisse de son destin, il supplie Dieu, qu’il appelle Abba («père» en araméen) : «éloigne de moi cette coupe…» (Marc, XIV, 36).

Arrivent les soldats, précédés par Judas, l’apôtre qui a trahi et dénoncé Jésus. Celui-ci est arrêté puis conduit à l’aube devant le grand prêtre Caïphe. Ce dernier demande :«Es-tu le Messie, le Fils du Dieu béni ?» ; Jésus dit : «Je le suis, et vous verrez le Fils de l’homme siégeant à la droite du Tout-Puissant et venant avec les nuées du ciel»(Marc, XIV, 61-62). Le grand prêtre déclare à l’assemblée des prêtres, anciens et scribes, le Sanhédrin, qu’il s’agit là d’un blasphème méritant la mort. Comme les juifs n’ont pas le droit d’exercer eux-mêmes la justice, il envoie Jésus chez Ponce Pilate, le procurateur romain qui gouverne la province au nom du roi Hérode Antipas.

La Passion

 

Embarrassé, Ponce Pilate présente Jésus à la foule : «Ecce Homo» («Voici l’Homme»), dit-il (Jean, XIX, 5). Finalement, après maintes tergiversations, il se résout à condamner Jésus à à la crucifixion, supplice qu’applique le droit romain aux non-citoyens. Il l’abandonne aux gardes qui le couvrent de crachats, le flagellent, l’humilient, posent sur sa tête une couronne d’épines pour se moquer de sa prétendue royauté….

Jésus doit ensuite monter du prétoire vers le lieu du supplice, aux portes de Jérusalem, sur une colline appelée Golgotha (le mot signifie lieu du crâne en hébreu et se traduit en latin par calvaria, dont nous avons fait calvaire).

Tout le long de ce «chemin de croix» à travers les ruelles de la ville, le condamné doit porter sur son épaule le patibulum, une traverse de bois destinée à être attachée sur un pieu pour former la croix.

Sur le Golgotha, au milieu d’une foule vociférante, Jésus est dépouillé de ses vêtements et crucifié entre deux brigands. Au pied de la croix se tiennent sa mère Marie et son disciple Jean. Il meurt le vendredi précédant la Pâque juive (l’anniversaire de ce jour est pour les chrétiens qualifié de Vendredi Saint).

Matthias Grünewald, Retable d'Issenheim (détail), 1516, Colmar, musée Unterlinden
Pâques et la résurrection du Christ

 

En mourant sur la croix comme un brigand de la pire espèce, le Christ, Dieu, fils de Dieu, témoigne selon la foi chrétienne de son amour pour les hommes. Ses souffrances ont pour effet d’effacer le péché originel des hommes et de leur ouvrir le chemin de la réconciliation avec Dieu.

Les disciples du Christ sont encore loin d’être pénétrés de cette conviction quand leur Maître meurt sur la croix. Ils sont remplis de doutes à l’égard d’un Messie qui n’a apparemment pas tenu ses promesses. Ils se cachent pour échapper à la vindicte des prêtres.

Seules deux femmes ont assez de courage et de foi pour se rendre au tombeau avec l’intention d’oindre le corps d’aromates. Parmi elles, Marie, dite Marie-Madeleine (parce qu’originaire de Magdala, sur la rive ouest du lac de Tibériade).

Elles découvrent le tombeau vide et Jésus en personne leur apparaît. Il leur demande d’annoncer sa résurrection, ce qu’elles font sans attendre en informant les disciples Pierre et Jean.

En ressuscitant le troisième jour suivant sa mort, qui est le jour de Pâques, Jésus témoigne de sa victoire sur la mort.

L’Ascension et la Pentecôte

Peu après Pâques, sur la route d’Emmaüs, le Christ se fait reconnaître de ses disciples. Après quelques autres retrouvailles, il monte au ciel. Cet événement est commémoré par l’Église quarante jours après le dimanche de Pâques. C’est le jeudi de l’Ascension.

Livrés à eux-mêmes, les disciples sont désemparés. Craignant d’être pris à partie par la population des environs, ils s’enferment dans une maison et se morfondent lorsque, soudain, ils sont«remplis de l’Esprit Saint». Celui-ci, troisième composante de la Sainte Trinité aux côtés du Père et du Fils (le Christ), se manifeste aux apôtres sous la forme de langues de feu. Il efface leurs doutes et leur confère le don de prêcher l’évangile (d’un mot grec qui signifie laBonne Nouvelle) dans toutes les langues.

Quittant leur refuge, les apôtres vont au-devant des foules et s’adressent à elles dans leurs langues respectives en«proclamant les merveilles de Dieu».

Ce jour où le Saint Esprit, troisième personne de la Sainte Trinité aux côtés du Père et du Fils, est venu sur terre est commémoré sous le nom de Pentecôte(le mot dérive du grec pentêkosté qui désigne le cinquantième jour, parce que la Pentecôte survient cinquante jours après Pâques). C’est l’événement véritablement fondateur de la religion chrétienne, le moment où commence à être prêchée la Bonne Nouvelle.

Alban Dignat

Source: http://www.herodote.net/9_avril_30-evenement-300409.php

Charles Martel maître de l’Austrasie

21 mars 717 : Charles Martel devient maître de l’Austrasie après la bataille de Vincy –

_______________________________________________________________________________________________________________________Au moment de cette bataille, Charles Martel est maire du palais d’Austrasie — partie du royaume des Francs correspondant au nord-est de la France actuelle, et dont la capitale est alors Metz —, cependant que l’officiel roi des Francs depuis 715, Chilpéric II, ne règne dans les faits que sur le seul royaume de Neustrie — partie du royaume des Francs dont l’étendue correspond au nord-ouest de la France actuelle, et dont la capitale est Soissons.

À la mort en 714 de Pépin de Herstal (dit aussi Pépin le Gros ou Pépin d’Héristal), père de Charles Martel et lui aussi maire du palais d’Austrasie, les Neustriens se soulevèrent pour reprendre leur indépendance ; ils battirent les Austrasiens, élurent pour maire Rainfroi (Ragenfried), tirèrent du cloître un descendant incertain des rois mérovingiens et le firent roi sous le nom de Chilpéric II. Puis ils s’allièrent avec les Frisons — peuple germanique —, pour que ceux-ci attaquassent l’Austrasie par le nord, et eux-mêmes s’avancèrent jusqu’à la Meuse.

« Il y eut alors de grands troubles et de terribles persécutions dans les royaumes des Francs », peut-on lire sous la plume du deuxième continuateur de la Chronique de Frédégaire. Un fils naturel de Pépin d’Herstal, Charles Martel, homme fait et déjà célèbre par sa valeur, avait été, au désir de l’épouse de Pépin, Plectrude, emprisonné quelque temps avant la mort de son père, sans que la cause en soit connue. Il s’échappe de sa prison, se présente aux Austrasiens découragés d’avoir pour chefs une femme (Plectrude) et un enfant (Théodebald, petit-fils de Pépin alors âgé de 6 ans), et se met à leur tête, en 715. Il court au-devant des Frisons, qui allaient se joindre aux Neustriens ; mais il est battu. Alors les Neustriens traversent les Ardennes sans obstacle, se joignent aux Frisons devant Cologne, forcent Plectrude, qui s’était renfermée dans cette ville, à leur livrer une partie de ses trésors, et reprennent le chemin de leur pays, en 717.

Charles Martel. Gravure publiée en 1836 dans le cadre d'une série de portraits en pied des personnages illustres de France

Charles Martel. Gravure publiée en 1836 dans le cadre d’une série
de portraits en pied des personnages illustres de France

Mais Charles épiait leur retour : il les attaque et les bat complètement à Vincy, le 21 mars 717, près de Cambrai, les poursuit jusqu’à Paris, et il les aurait entièrement détruits si une irruption de Saxons ne l’eût forcé de revenir sur le Rhin. Il repoussa les Barbares, jeta, à l’exemple de son père, des troupes de moines sur leur pays, puis se tourna sur Cologne et s’empara de cette ville. Plectrude, dont le petit-fils venait de mourir, « lui rendit les trésors de son père et remit tout en son pouvoir », nous apprennent les Annales d’Éghinard. Alors il se donna un roi de la famille mérovingienne nommé Clotaire (Clotaire IV), et gouverna tout l’empire avec le simple titre de chef ou duc des Francs.

Remarquons qu’il plane une incertitude quant au Vincy mentionné par les anciennes chroniques. Selon Maximilien Melleville, érudit qui consacra plusieurs ouvrages à sa ville natale de Laon, beaucoup d’auteurs placent le lieu de la bataille livrée par Charles Martel, à Vincy-Reuil-et-Magny, petit village de l’ancienne Thiérache, situé sur la rive droite de la Serre, à 45 km au nord-est de Laon. Melleville précise que dom Lelong, qui rédigea notamment une Histoire du diocèse de Laon, place quant à lui le lieu de cette bataille à Vincy, près de Crèvecoeur-sur-l’Escaut — à 8 km au sud de Cambrai.

Quoi qu’il en soit, après cette bataille, les Neustriens n’étaient pas entièrement abattus ; ils cherchaient partout des ennemis aux Austrasiens, et demandèrent des secours à Eudes d’Aquitaine « en lui envoyant des présents et la royauté » (Chronique de Frédégaire). Les Aquitains regardaient les Francs du Rhin comme bien plus barbares que ceux de la Seine ; ils avaient à craindre que les bandes de Charles ne voulussent, comme celles de Clovis, goûter des fruits et des richesses du midi : ils se réunirent donc aux Neustriens et marchèrent contre Charles, en 718. Celui-ci les battit près de Soissons, et les poursuivit jusqu’à Orléans. Eudes revint à grand’peine dans son pays, emmenant avec lui Chilpéric II, et il n’obtint la paix et la possession paisible de ses États qu’en livrant ce roi et ses trésors (719). Charles Martel, dont le roi Clotaire IV venait de mourir, fit reconnaître Chilpéric par les trois royaumes — Austrasie, Neustrie, Aquitaine —, et régna seul comme son père.

Ce fut le dernier effort des Neustriens, qui désormais ne furent plus distingués de l’ancienne population gauloise et suivirent ses destinées. Le siège de l’empire des Francs se trouva alors transporté vers la Meuse et le Rhin, au centre de leur ancienne patrie. C’est ce qui doit arrêter les invasions du Nord, auxquelles avaient succombé les Neustriens, après les Romains, et auxquelles auraient succombé à leur tour les Austrasiens si, au lieu de rester armés sur les bords du Rhin, ils s’étaient éparpillés dans la Gaule.

 


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Trois bonnes raisons de visiter le musée Unterlinden de Colmar

Lettre ouverte à Philippe Richert :

 Les Alsaciens Réunis

Encore une autre fonction ?

Pourquoi êtes-vous candidat à la présidence de l’Association des régions de France (ARF) ? Engagé dans la vie publique depuis maintenant une trentaine d’années,…
 Philippe Richert, prochain président de l’Association des régions de France. – © Pol Émile/ SIPA/SIPA

Le président de la région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine détaille pour Acteurs publics les raisons de sa candidature à la présidence de l’Association des régions de France (ARF). Il appelle le gouvernement à travailler différemment avec les régions.

Communiqué de presse :

Lettre ouverte à Mr Richert Président de la région dite fusionnée Alsace Champagne Ardenne Lorraine

Monsieur Richert,

Vous insultez en permanence l’Alsace – une région historique extraordinaire que vous vous êtes empressé de fouler au pied et d’enterrer pour briguer la tête de la grande région – et les Alsaciens, dont près de 130 000 d’entre eux ont signé une pétition pour vous demander l’organisation légitime d’un référendum destiné à la préserver d’une disparition par fusion, qu’à 85 % ils ne voulaient pas. Vous n’aviez pourtant reçu aucun mandat de leur part pour œuvrer à la disparition de l’Alsace, pour en devenir le fossoyeur.

Vous avez refusé l’organisation de cette consultation, alors que la Charte européenne de l’autonomie locale fait obligation à la France, qui l’a ratifiée, de consulter les collectivités locales en cas de changement de leur limites territoriales, et aujourd’hui vous insultez une nouvelle fois les Alsaciens et cherchez, sans vergogne, à vous faire passer pour un « vrai, grand » démocrate, que vous n’êtes pas, en leur proposant une pseudo « consultation populaire » dont vous connaissez l’issue, Grand Est, parce que vous exercerez toutes les pressions nécessaires pour qu’il en soit ainsi. Les autres exemples que vous citez sont symptomatiques de votre mépris pour l’Alsace et les Alsaciens : Champagnie, Lotharingie, Austrasie, nulle place ici pour l’Alsace.

Vous ne ferez rêver personne avec « Grand Est ». Quand bien même les Alsaciens proposeraient « Alsace », vous feriez supprimer ce choix, comme vous l’avez d’ailleurs déjà fait il y a peu dans une autre tentative de consultation du même type.

Les Alsaciens seront quoi qu’il en soit toujours minoritaires dans cet ensemble sans cohérence, sans âme, comme le nom que vous voulez lui donner. Il en ira de cette consultation comme de toutes les décisions qui seront prise depuis Metz, où vous voulez siéger. Personne ne vous retient dans ce qui pour ses vrais défenseurs sera toujours l’Alsace.

Vous ne vous êtes d’ailleurs pas battu une seule seconde avec sincérité pour elle. Tenant en permanence un double langage destiné à tromper les Alsaciens, vous ne vous êtes servi de l’Alsace que pour mieux assouvir votre soif mégalomaniaque de pouvoir, sans doute nostalgique du temps où vous étiez ministre. Voilà que vous briguez la présidence de l’Association des Régions de France, et proposez à votre seul profit la création d’un Conseil des Régions, à la tête duquel vous vous voyez déjà !

Monsieur Richert, vous êtes le plus mauvais des Alsaciens, celui dont l’histoire retiendra qu’il l’a honteusement trahie. Vous n’êtes plus digne d’elle ni n’avez le droit de vous en revendiquer. Comme l’a dit fort justement l’ancien Premier ministre, Monsieur Michel Rocard, « La France s’est créée par la destruction de cinq cultures — bretonne, occitane, alsacienne, corse et flamande. ». Vous êtes l’artisan le plus sinistre de la destruction criminelle du peuple alsacien et de son identité. Lorsque l’on veut détruire un peuple, on commence par effacer son histoire, son nom. Vous ne vous y prenez pas autrement.
N’oubliez jamais Monsieur Richert que vous serez celui qui aura accepté sans combat que l’Alsace soit rayée de la carte, qui aura fait disparaître des livres d’histoire et de géographie son nom bien plus ancien que celui de la France elle-même. Supprimer leur nom aux régions historiques et aux peuples qui les habitent, c’est s’en prendre à leur identité. C’est intolérable. Cette grande région est innommable. Ce qui ne se nomme pas n’existe pas, ne revêt aucune réalité objective. Vouloir créer ainsi une identité artificielle, de toute pièce, est simplement criminel. L’identité ne se décrète pas à coups de consultations, ici une véritable mascarade à laquelle les Alsaciens ne sauraient prendre part. L’identité se forge au fil des siècles, elle est intrinsèque aux êtres.

Soyez assuré, Monsieur Richert, que les Alsaciens n’auront de cesse que de combattre vos desseins obscurs, mus par votre égo et votre carriérisme, jusqu’à ce que l’Alsace redevienne ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être, une région autonome qui se suffit à elle-même et qui saura prospérer sans vous.

Les Alsaciens Réunis

599a6917Pierre Nicolas Schweitzer

Des semaines que j’attends cette info dans la presse régionale et c’est un facebookeur, Maxime Van Caemerbeke qui nous la livre : un état clair du cumul de mandats en Région Alsace Champagne-Ardenne Lorraine.
599a6917
119 conseillers régionaux sur 169 cumulent au moins un autre mandat électif, soit plus de 70% : 80% des élus de la majorité cumulent, 74% des élus du PS cumulent, 48% des élus du FN cumulent.

Resterait à compléter ce remarquable bilan par les élus collaborateurs d’élus, les élus membres ou président de conseils d’administration d’organismes para-public ou d’agences, les élus salariés de collectivités locales ou d’agences dépendant de ces collectivités…

Je le cite :

— « On parle souvent du cumul de mandats des élus régionaux ici. J’ai voulu le « mesurer » pour voir ce qu’il en était vraiment.

J’ai réalisé des tableaux présentant le/s mandat/s des élus régionaux, disponibles sur wikipédia : https://fr.wikipedia.org/…/Conseil_r%C3%A9gional_d’Alsace-C…

J’espère ne pas avoir fait d’erreurs. Puis, j’ai fais le décompte :

Sur les 169 élus du Conseil, 119 (c’est à dire 70%) cumulent leur fonction de conseiller régional avec un autre mandat.

Parmi eux figurent 9 parlementaires :
* 4 sénateurs (3 LR et 1 PS)
* 3 députés nationaux (2 LR et 1 PS)
* 2 députés européens (2 FN)

Deux élus régionaux ont un mandat au sein d’un conseil départemental (celui de la Moselle) : Patrick Weiten, (président, UDI) et Marie-Louise Kuntz (vice-présidente, LR).

Sur les 119 élus qui cumulent, 110 ont un mandat au niveau local.

  • 41 sont maires (37 de la Majorité droite/centre, 1 FN et 3 PS)
  • 26 sont adjoints au maire (24 de la Majorité, 1 FN, 1 PS)
  • 43 sont conseillers municipaux (16 de la Majorité, 18 du FN, 9 du PS).

Parmi eux, 85 ont également une fonction à l’échelle intercommunale :
* 12 sont présidents (tous de la Majorité)
* 23 sont vice-présidents (22 de la Majorité, 1 du PS)
* 50 sont conseillers communautaires.

Ainsi donc, seuls 50 élus du Conseil ne cumulent pas leur mandat régional avec un autre mandat. Parmi eux figurent plus de la moitié (24) des élus du FN (52% du groupe Les Patriotes – FN), 5 élus du PS (26 %) et 21 élus de la majorité (20%).

J’ai peut être réalisé une ou deux coquilles mais voilà un ordre d’idées. »
Photo de Pierre Nicolas Schweitzer.
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Gilbert Gless
Gilbert Gless Je pense que les présidentielles feront l implosion des partis traditionnels et on verra ces mêmes élus vertueux courir après les nouvelles tendances
Meme Daniel Balavoine disait le soir de leur election le seul souci des Élus est leur réélection pour…Voir plus
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Denis Lieb
Denis Lieb je suis contre le cumul mais il ne faut pas tout mettre sur le même plan! Conseiller municipal de base et conseiller régional ne me choquent pas!
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Pascale Elles
Pascale Elles le FN n’est qu ‘à 48% mais uniquement parce qu’ils ont seulement récemment le vent en poupe, mais ils sont aussi champion de l’absentéisme. C’est sûr qu’empocher de l’argent sans bosser c’est plus facile que de se lever tous les matins pour le SMIC
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Bertrand Hener
Bertrand Hener On parle de politiciens professionnels professionnellement déconnectés, pas de gens qui s’engagent et savent de quoi ils parlent, même à deux publics, non ? Qu’un élu de Schickebibersche s’interresse au Bas-Rhin ne me dérange pas.
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Jacques Lucienne
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Olivier Delaire et 3 autres personnes ont partagé la vidéo de iTELE.
59 146 vues
iTELE
18 h ·

▷▷▷ Quand les défenseurs de la République votent FN

► 51,5% des policiers, militaires et gendarmes ont déclaré avant les élections régionales de décembre 2015 vouloir voter pour les listes du Front National, selon une enquête du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof)

Olivier Delaire a partagé la vidéo de iTELE.
28 min ·

iTELE
18 h ·
▷▷▷ Quand les défenseurs de la République votent FN

► 51,5% des policiers, militaires et gendarmes ont déclaré avant les élections régionales de décembre 2015 vouloir voter pour les listes du Front National, selon une enquête du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof)
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François Hollande confirme que la centrale de Fessenheim ne sera pas fermée d’ici la fin 2016 – Nucléaire

Fessenheim – Crédits L’Usine Nouvelle    Dans une interview accordée au Parisien Magazine ( à paraître le vendredi… Articles liés Nucléaire, L’Usine de l’Energie, EDF – Actualité de l’industrie

Source : François Hollande confirme que la centrale de Fessenheim ne sera pas fermée d’ici la fin 2016 – Nucléaire

L’Usine de l’Energie000154586_illustration_large

L’Energie, c’est aussi l’affaire de l’industrie. Pour comprendre les enjeux de la transition énergétique, suivre le développement des énergies renouvelables, décrypter les politiques environnementales et mesurer l’impact de ces changements sur la compétitivité des usines, L’Usine Nouvelle donne la parole aux industriels. Solaire, éolien, gaz de schiste, nucléaire, hydrogène, pétrole, charbon, biomasse, énergies offshores, isolation des bâtiments… toutes les énergies et les sujets seront traités par nos journalistes et notre réseau d’experts.

François Hollande confirme que la centrale de Fessenheim ne sera pas fermée d’ici la fin 2016
Par Anne-Katell Mousset – Publié le 24 septembre 2015, à 16h40
L’Usine de l’Energie, EDF
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Le retard de l’EPR de Flamanville condamne la fermeture en 2016 de la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin). Le président de la république l’a confirmé dans une interview à paraitre demain 25 septembre dans le Parisien Magazine. L’important selon lui est maintenant d’engager « toutes les procédures », pour rendre la fermeture « irréversible ».

Fessenheim – Crédits L’Usine Nouvelle

Dans une interview accordée au Parisien Magazine ( à paraître le vendredi 25 septembre) avant la COP21, François Hollande est revenu sur le dossier de la centrale nucléaire de Fessenheim. Sa fermeture était un engagement de la campagne présidentielle du président de la République. Il confirme qu’elle ne sera pas fermée d’ici à la fin 2016, comme l’avait déjà laissée entendre la ministre de l’environnement, Ségolène Royal au début du mois de septembre.

Le président avance d’ailleurs une explication semblable :  » la construction de l’EPR de Flamanville (Manche) a pris beaucoup de retard ». La livraison est prévue au quatrième trimestre 2018.

« Mais ce qui importe, c’est d’engager toutes les procédures pour fermer Fessenheim. Nous le faisons. On pourra dire alors que c’est irréversible », indique François

Photo de Made in Alsace.

Fleischschnaka, qui a dit que ce mot était imprononçable ? Et qui sait ce que c’est ?

Source : Photo de Made in Alsace.

 

Photo de Made in Alsace.

Je serai demain soir à.la Meinau à l’invitation de mon
collègue Frederic Bierry.
Racing Strasbourg et SR Colmar : l’amitié retrouvée avant le derby…

Interrogé par François Namur sur le prochain Derby à la Meinau, qui opposera le Racing Club Strasbourg Alsace aux SR Colmar, Marc Keller, le président du RCSA assure que tout…
dna.fr

 

 

Pierre Godefroyd a partagé un lien.
23 min ·

Un terroriste essaye de réconforter le jeune homme avant son attentat-suicide en Syrie. Jafar, mon frère, ne sois pas effrayé. Si tu as peur, pense à …
7sur7.be|Par Christophe Da Silva
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  • Jacques Lucienne
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Fleischschnaka, qui a dit que ce mot était imprononçable ?
Et qui sait ce que c’est ?

Je serai demain soir à.la Meinau à l’invitation de mon
collègue Frederic Bierry.
Racing Strasbourg et SR Colmar : l’amitié retrouvée avant le derby…

Interrogé par François Namur sur le prochain Derby à la Meinau, qui opposera le Racing Club Strasbourg Alsace aux SR Colmar, Marc Keller, le président du RCSA assure que tout…
dna.fr

 

 

Pierre Godefroyd a partagé un lien.
23 min ·

Un terroriste essaye de réconforter le jeune homme avant son attentat-suicide en Syrie. Jafar, mon frère, ne sois pas effrayé. Si tu as peur, pense à …
7sur7.be|Par Christophe Da Silva
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  • Jacques Lucienne
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Photo de Jean-Marie Heinrich.

Réaffirmons tous ensemble le 20.09 notre rejet de cette fusion et pour le maintiens de notre droit local merci de votre présence et votre union.

Source : Photo de Jean-Marie Heinrich

Bruno Riffenach a partagé la photo de Jean-Marie Heinrich dans le groupe Renaissance Alsace.
3 h ·

Photo de Jean-Marie Heinrich.
Jean-Marie HeinrichMobilisation générale contre la fusion de l’Alsace et la mort du droit local

Réaffirmons tous ensemble le 20.09 notre rejet de cette fusion et pour le maintiens de notre droit local merci de votre présence et votre union.

  • Gilbert Dannel Vive L’Alsace Moselle ensemble sans les traîtres jacobins de Paris et Richert Ries et bies vive L’Alsace avec Unser Land elsass free

Alain Juppé et François Fillon n’ont pas écouté Nicolas Sarkozy, et souhaitent  » Définir un cap pour la France.  »
Cela tombe vraiment très bien nous aussi.
Vous le rappelez vous même les militants sont restés mobilisés et unis face à vos querelles de comptoirs et vos comptages à la pichpao. Encore une fois nous ne sommes pas dupes et la France toute entière a bien compris que Nicolas Sarkozy avait du intervenir une nouvelle fois pour vous faire entendre raison.
Alors  » Définir un cap pour la France  » oui certainement, mais nous vous engageons dans un premier temps à faire preuve vous même de discernement et à préparer de nouvelles élections Présidentielles dans la sérénité, et à ce propos pardonnez moi je ne suis pas sur du tout que vous monsieur Fillon et vous-même monsieur Juppé ayez encore la confiance des militants.
Claude Yves

Photo de Claude Yves Marechal.

Alain Juppé et François Fillon n’ont pas écouté Nicolas Sarkozy, et souhaitent  » Définir un cap pour la France.  »
Cela tombe vraiment très bien nous aussi.
Vo

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  • François Martines On avait déja presque la même photo de constipés il y a quelques mois …

    Photo de François Martines.
  • Renee Burel DE CETTE UNION ET SARKOZY A RAISON de ne pas divulguer son programme La preuve c’est que philippot a aussitot demoli le livre de juppe et ses propositions sur l’enseignement le front national comme le ps est à l’affut pour critiquer

 

  • Erick Wagener a répondu · 1 réponse

 

 

L’Allemagne s’attend à recevoir 10.000 réfugiés venus de Hongrie via l’Autriche dimanche, un niveau jamais atteint en une seule journée, après en avoir accueilli 7.000 la veille.

L’Allemagne s’attend à recevoir 10.000 réfugiés venus de Hongrie via l’Autriche dimanche, un niveau jamais atteint en une seule journée, après en avoir accueilli…
challenges.fr|Par Par Challenges.frVoir tous ses articles

À Calais, les migrants, c’est ça ! Et c’est tous les jours et de plus en plus.

Photo de Christian Selle.

 

 

GUEBWILLER

Voici un lien pour visionner le nouveau film de présentation de la Région de

Guebwiller, dénommé « Carnet numérique du Pays d’art et d’histoire »

Il a été réalisé par la CCRG, en partenariat avec le centre audiovisuel des

Dominicains. Les prises de vues et le montage ont été réalisés par Michel

Kurst.

Il est diffusé à l’accueil des Dominicains de Haute-Alsace durant toute la

saison estivale, afin de donner envie de découvrir l’ensemble du territoire

labellisé « Pays d’art et d’histoire ». Il dure 8 minutes environ.

Bonne découverte

Vous n’aurez pas l’Alsace et la Moselle !!

Le droit local ne se limite pas à quelques jours feriés en plus ou à la rémunération des curés….

Le droit local en Alsace et en Moselle est un régime juridique qui conserve, dans les anciens territoires cédés puis repris, les dispositions mises en place par les autorités allemandes lorsqu’elles sont estimées plus favorables aux habitants ainsi que des dispositions préexistantes qui ont été entre-temps transformées ou supprimées par la législation française.

Les Alsaciens et les mosellans savent que les 2 jours feriés supplémentaires, le salaire des curés, la sécurité sociale qui rembourse à 90% requière du droit local. En réalité, un trés grand nombre de dispositions spécifiques existe, à tel point qu’a été créé en 1985, l’Institut du droit local Alsacien-Mosellan (IDLAM), sous la forme d’une association inscrite de droit local, et qui a pour tâche de promouvoir une connaissance plus approfondie des multiples composantes du droit local et d’apporter des réponses aux problèmes juridiques que soulève sa combinaison avec le droit général français.

Voici un petit résumé non-exhaustif de diverses dispositions inscrites au droit local Alsacien-Mosellan :

  • Le code professionnel local
    • Les salariés du secteur privé ont droit au maintien intégral de leur salaire sans délai de carence et sans condition d’ancienneté lorsque la cause de l’absence n’est pas due à leur fait et qu’elle empêche réellement l’exécution du contrat de travail. La cause de l’absence n’est pas forcément liée à la santé et sa durée n’est limitée que par la jurisprudence (maximum six semaines) mais la force majeure doit être évidente.
    • les Alsaciens et les Mosellans ont deux jours fériés supplémentaires (par rapport au reste de la France) : le jour de Saint Étienne, fêté le 26 décembre, et le Vendredi saint (qui précède le dimanche de Pâques).
    • le principe de l’interdiction du travail salarié le dimanche et les jours fériés. Certaines dérogations sont néanmoins applicables. Cette interdiction n’est pas applicable pour certaines situations (services d’urgence, traitement de matières périssables, …). Est exclu de ces dispositions le personnel des équipages naviguant sur le Rhin.
    • Le Code local des Professions (Gewerbeordnung – réglementation des affaires), loi d’empire du 26 juillet 1900, régit le régime de l’artisanat en Alsace-Moselle.
    • Une activité est artisanale non pas lorsque l’entreprise qui l’exerce est de petite dimension comme ailleurs en France (droit général : maximum 10 salariés) mais parce que le travail y est réalisé selon des méthodes non industrielles et en ayant principalement recours à des salariés professionnellement formés.
    • L’apprentissage est soumis à un régime différent et est beaucoup plus développé en Alsace-Moselle qu’ailleurs en France ; il peut être sanctionné par un diplôme spécifique : le Brevet de Compagnon.
    • Le taux de la taxe d’apprentissage est de 0.26% de la masse salariale contre 0.5% sur le reste du territoire français.
    • Un employeur a l’obligation de payer à un commis commercial une indemnité s’il compte lui interdire de lui faire concurrence après son départ ; cette indemnité, égale à la moitié du salaire, est due pendant toute la durée de l’interdiction. En l’absence de contrepartie financière, la clause de non-concurrence est nulle.
  • La législation sociale
    • La Reichsversicherungsordnung (réglementation impériale des assurances) de 1911 imposait une mutuelle complémentaire obligatoire. Aujourd’hui encore, le taux de couverture base de la sécurité sociale alsacienne-mosellane est de 90 %. Ce régime complémentaire est équilibré (alternance entre périodes déficitaires et excédentaires) et payé uniquement par une cotisation sociale supplémentaire des salariés alsaciens et mosellans (1,5 % du salaire brut au 01/01/2012).
    • Selon la loi du 30 mai 1908, les communes sont obligées de secourir les personnes habitant sur leur territoire qui sont sans ressources. Chaque commune fixe le plafond de ressources conditionnant l’octroi de l’aide et choisit la forme de l’aide allouée (en espèces ou en nature : logement, nourriture, …). La loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002 l’a abrogée et intègre des dispositions spécifiques dans le nouveau code de l’action sociale et des familles.
    • Le régime concordataire est un élément du droit local alsacien et mosellan. Il reconnait et organise les cultes catholique, luthérien, réformé et israélite. Il constitue donc une séparation incomplète des Églises et de l’État, même si à son entrée en vigueur il reconnaissait égales toutes les confessions présentes. À noter que seules ces religions, reconnues par l’État, peuvent bénéficier du régime concordataire, le cas de l’Islam revenant régulièrement maintenir cette question dans l’actualité.
    • les cours de religion sont obligatoires à l’école primaire et au collège. Néanmoins, une dispense est accordée de droit aux parents qui la demandent.
    • l’université de Strasbourg et celle de Metz sont les seules universités publiques françaises à dispenser des cours de théologie.
    • la rémunération des ministres des quatre cultes reconnus (prêtres, pasteurs, rabbins…), est prise en charge par l’État.
    • la nomination de l’archevêque de Strasbourg et celle de l’évêque de Metz, sont faites par le président de la République française, dernier chef d’État au monde à nommer des évêques catholiques.
    • Le service des cultes dépend du ministère de l’Intérieur ; un sous-préfet, basé à Strasbourg, est chargé du Bureau des cultes des trois départements.
  • La justice
    • La cour d’appel de Metz est la seule métropolitaine à n’être compétente que sur un unique département (la Moselle).
    • Il n’y a pas d’avoués auprès des cours d’appel : les avocats doivent choisir de postuler soit devant le tribunal de grande instance, soit devant la cour d’appel.
    • Les charges des notaires et des huissiers se caractérisent par leur non-vénalité et l’absence de droit de présentation.
    • Dans les trois départements, les notaires et les huissiers ont également la charge de commissaires-priseurs judiciaires.
    • L’Alsace et la Moselle ont disposé d’un encadrement de la faillite civile pendant plus de quatre-vingts ans; en effet, la possibilité était donnée aux débiteurs qui ne sont ni commerçants, ni artisans, ni agriculteurs de faire faillite quand ils étaient en état d’insolvabilité notoire (situation durablement et irrémédiablement compromise).
  • Divers
    • les associations sont régies par les articles 21 à 79-III du code civil local entré en vigueur le 1er janvier 1900.
    • sept membres fondateurs sont nécessaires (et pas seulement deux) pour créer une association,
    • Ainsi, un conseiller municipal peut être « démissionné d’office », par exemple pour défaut d’assiduité ou pour troubles répétés à l’ordre des séances.
    • le gibier est un patrimoine (et non un res nullius du droit général) géré par les communes suivant un cahier des charges départemental fixant les modalités techniques et de gestion de la chasse et sous le contrôle d’une police de la chasse.
    • Du vinaigre d’alcool titrant 3.8 ° (le Melfor) est produit localement depuis 1910. Il a réellement commencé à entrer dans les mœurs vers 1925.
    • Les trains roulent du côté droit sur les lignes à double voie en Alsace et en Moselle alors qu’ailleurs en France, ils roulent du côté gauche.
      Au départ, il ne s’agit pas vraiment d’une question de droit mais d’une question de contraintes techniques, de normes applicables.
    • Les dispositions locales sont plus favorables à l’assuré en matières de règlement de sinistres en incendie où elles intègrent les frais de déblais dans leur totalité.

Pour tout savoir sur le droit local Alsacien-mosellan, rendez-vous ici !

Les réalisations de Napoléon Bonaparte

Napoleon
Full length portrait of Napoleon in his forties, in high-ranking white and dark blue military dress uniform. He stands amid rich 18th-century furniture laden with papers, and gazes at the viewer. His hair is Brutus style, cropped close but with a short fringe in front, and his right hand is tucked in his waistcoat.

Sous le Consulat

Le Consulat est essentiellement une période de pacification et de stabilisation de la France, après la décennie révolutionnaire. De nombreuses institutions sont fondées, qui survivent longtemps à leur créateur ; elles reprennent certains acquis de la Révolution.

- Le 13 décembre 1799 (22 frimaire an VIII)

  • l’article 52 de la Constitution institue le Conseil d’État.
  • Bonaparte crée le Sénat.

- Le 13 février 1800 (24 pluviôse an VIII) création de la Banque de France.
- Le 17 février 1800 (28 pluviôse an VIII) Bonaparte crée le corps préfectoral.
- Le 15 juillet 1801 Napoléon Bonaparte signe avec le pape Pie VII le Concordat. Voir aussi : Jean Baptiste de Belloy
- Le 1er mai 1802 (11 floréal An X) le Premier consul crée les lycées.
- Le 19 mai 1802 (29 floréal an X) est créée la Légion d’honneur.
- Le 24 décembre 1802 sont créées les 22 Chambre de commerce.
- 1803 : La Louisiane est vendue par la France aux États-Unis, dirigé par Thomas Jefferson, pour quatre-vingt millions de francs.

  • le 7 avril (17 germinal an XI) est créé le franc Germinal.

- Le 21 mars 1804 (30 ventôse an XII) le Code civil français est promulgué.

Sous l’Empire

- En 1806 l’empereur Napoléon Ier commande l’Arc de triomphe de l’Étoile.

  • Le 18 mars 1806 (21 germinal an IX) le premier conseil de prud’hommes est créé à Lyon.
  • Le 10 mai 1806 l’Université est recréée, après son abolition par la Révolution, sous une forme qui conduit aux actuelles universités.
    - En 1807 Napoléon confie à Alexandre Théodore Brongniart la construction de la future Bourse de Paris.
  • Le 9 février 1807 il ressuscite la fonction de Grand Sanhédrin (ce qui facilite l’assimilation des juifs dans l’Empire). Napoléon a poursuivi l’œuvre de tolérance à l’égard des juifs amorcée par la Révolution.
  • Le 16 septembre 1807 Napoléon crée la Cour des Comptes.
    - Le 17 mars 1808 Napoléon crée par décret le baccalauréat.
    - Le 12 février 1810, le Code pénal est promulgué.

L’œuvre législative

Bonaparte opéra dès les débuts du Consulat de nombreuses réformes dans l’éducation, la justice, la finance et le système administratif.

Son ensemble de lois civiles, rédigé par Jean-Jacques Régis de Cambacérès et connu sous le nom de Code Napoléon de 1804, a encore une forte influence dans de nombreux pays de nos jours.

Le Code civil français est toutefois très largement inspiré d’un éventail de lois et coutumes diverses déjà existantes sous l’Ancien Régime qu’il unifia. Son œuvre administrative se prolongea jusqu’en 1814. Entre autres réformes, il débutera le travail de cadastrer le territoire français.

En architecture et urbanisme

À Paris

- L’érection de l’Arc de Triomphe du Carrousel (1808)
- La construction de la colonne Vendôme (1805-1810)
- L’Arc de triomphe de l’Étoile (1806)
- La construction du palais Brongniart (Bourse de Paris)
- L’Eglise de la Madeleine (finie en 1842)
- La percée de la rue de Rivoli, de Castiglione et des Pyramides
- La nouvelle façade du palais Bourbon (commencée en 1808)
- La liaison entre le Louvre et le palais des Tuileries ; la finition de la Cour carrée du Louvre (construction de l’aile Ouest et Sud) ; le Louvre devient un musée.
- La numérotation pair-impair des rues de la capitale
- La construction de 3 ponts : le pont des Arts (1803), d’Austerlitz et d’Iéna
- Le canal de l’Ourcq, de Saint-Martin et de Saint-Denis
- La construction de dizaines de fontaines, comme l’Éléphant de la Bastille
- L’aménagement du cimetière du Père Lachaise
- L’aménagement de nombreux espaces verts, comme le Jardin des Plantes, ou l’embellisement du jardin du Luxembourg.

En province et à l’étranger

- La fondation de Napoléon-Vendée (l’actuelle ville de La Roche-sur-Yon)
- La transformation de la place Bellecour à Lyon
- Le pont de pierre à Bordeaux
- La construction de la place de la Paix à Milan.

LAICITE

laicité1

Après les signes religieux chrétiens, les « laïcards » s’attaquent aux spécificités Alsaciennes

De Alexandre Otn,
. Société
30 mai 2015
101 Vues
Alexandre Otn
Alexandre Otn

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La République universelle reconnaîtrait-elle d’abord le particularisme des personnes avant celui de ses régions ? Tout semble à croire que pour le microcosme socialo-maçonnique les diversités ne sont bonnes à prendre que ponctuellement.

La France, riche de son Histoire, a su traverser les âges en perpétuant certaines traditions locales ou en intégrant les travers historiques comme identité culturelle. L’Alsace-Moselle, meurtrie durant 75 ans, est aujourd’hui pointée du doigt pour son irrévérence cultuelle. Par une proposition de loi enregistrée à la Présidence du Sénat le 22 mai 2015, le Sénateur, mosellan et communiste, Patrick Abate fait du délit de blasphème, perpétué en droit local alsaco-mosellan, une disposition à abattre[1]. Jugé comme « anomalie de l’Histoire »[2], ce délit serait source d’obscurantisme et de servitude. Il est étonnant de constater comment les communistes s’arrangent de l’Histoire quand on se souvient des procédés liberticides de l’URSS, si chère à nos compatriotes rouges, mais également des mentions faites dans l’exposé des motifs de la petite loi. M. Abate nous informe ainsi qu’il faut remonter au Chevalier de La Barre (1766)[3] pour obtenir un cas de blasphème dans notre récente histoire. Dans un passé plus proche,  il faut bien avouer que jamais le délit de blasphème hérité du code pénal allemand de 1871 n’a été prononcé depuis la réannexion des trois départements suite au Traité de Versailles du 28 juin 1919.

Mais alors, pourquoi tant d’agitation devant un délit d’opérette ?  Bien évidemment, le drame de Charlie Hebdo survenu le 7 janvier 2015 y est pour beaucoup quand le fondamentalisme religieux est en cause. Mais la vérité est toute autre. Volonté unilatérale de l’entente communo-maçonnique, le Grand Orient de France a fait de la laïcité son grand combat pour le XXIe siècle. Quelque peu en retard de quatorze années, c’est le 9 décembre 2014[4] qu’il propose d’ « abolir au plus tôt le délit de blasphème ». On comprend toute la violence verbale à l’encontre d’une pratique ô combien liberticide et asservissante pour les alsaco-mosellans. Quelle grandeur d’âme de la part de cette obédience, majoritaire en France, de seulement cinquante milles membres. Ceci étant, ce n’est que la continuité normale d’une conversion forcée de toute une nation au profit de la nouvelle religion d’Etat : le laïcisime. Concept fort intéressant, adulé par certains, copié par d’autres, il est en passe de devenir le premier culte français. Cette croyance nationale s’acoquine d’ailleurs très bien avec sa petite sœur : la liberté d’expression. Complémentaires ces idées sont le témoignage d’une décadence culturelle et d’une ineptie d’Etat. Quand la France « ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte »[5] elle ne doit pas pour autant imposer une morale laïque au détriment des croyances de chacun. La laïcité à la française est constitutive du vivre ensemble ; autrement dit de l’accompagnement des individus par l’Etat dans leurs croyances respectives.

Or, c’est bien tout l’inverse qui est en train de se passer. Chahutée, la laïcité n’a aujourd’hui plus d’identité si bien qu’elle devient un concept universel intouchable, inqualifiable, la représentation divine républicaine pour laquelle on bafouerait même la liberté d’expression pourtant consœur[6].

Ce n’est donc pas en détricotant un régime concordataire vieux de plus de deux siècles que la liberté d’expression s’en retrouvera grandie. Bien souvent pointé du doigt, le culte musulman reconnaît pour sa part un gage d’apaisement dans le Concordat et constate qu’il permet « un meilleur vivre-ensemble »[7]. Toutes les croyances doivent être respectées pour qu’un dialogue apaisé puisse s’ouvrir au profit de la lutte contre l’obscurantisme de notre temps : la bêtise humaine.

L’uniformité d’une nation derrière un concept, aussi mouvant soit-il, est dangereuse. « Le cléricalisme, voilà l’ennemi » proclamait Gambetta dès les débuts de la IIIe République. Je préfère dire « le laïcisme, voilà l’ennemi ».

 

1)  http://www.senat.fr/leg/ppl14-464.html

2)  http://www.groupe-crc.org/+-Patrick-Abate-208-+.html

3) http://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/La_Barre/128262

4)  http://www.godf.org/uploads/assets/file/25-propositions-du-GODF-laicite.pdf

5) Article 2 de la loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation des Eglises et de l’Etat

6)  http://www.marianne.net/reunion-publique-laicite-censuree-mairie-saint-denis-100233991.html

7) http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2015/01/20/delit-de-blaspheme-debat-en-alsace-moselle

Recette d’Alsace : Käsküeche… ou tarte au fromage blanc

23 mai 2015

11329701_1606310959608967_1228780978_nL’Amérique a son cheesecake… L’Alsace a sa tarte au fromage blanc !
Il y a sans doute autant de recettes de tartes au fromage blanc que de familles alsaciennes.
Chacune l’adapte à sa façon.

Johanna, l’une de nos fan Facebook nous propose une recette :

« Je vous en propose une version ci-dessous. Sincèrement, je n’en ai jamais mangé de meilleure !

A mes yeux, pour qu’elle soit réussie, elle doit être mousseuse et légère (enfin ça c’est une question de goût !), bien haute et bien dorée sur le dessus.

J’ai trouvé #LA recette, celle qui me fait fondre, celle qui est parfaite, celle où il ne faut rien changer, celle que tout le monde apprécie, du moins chez moi !! Et comme je suis gentille, je vous livre ce petit bijou…
Issue du livre : les tartes folles de C. Felder, lui-même alsacien !

Pour la réaliser, si vous êtes en Alsace, vous pourrez utiliser le Bibeleskaese local, mélange de fromage blanc avec un touche de crème fraîche, que l’on trouve facilement en supermarché (marque « Alsace lait »). »

Pour une tarte de 6/8 personnes et Pour un moule aux dimensions by name » href= »#83846088″> Continue > by name » href= »http://www.madeinalsace.com/recette-dalsace-kaskueche-ou-tarte-au-fromage-blanc/#25351807″> suivantes : 24 cm par 6 cm de haut11276201_1606310956275634_1403746428_n

Temps de repos de la pâte : 60 minutes

by name » href= »#24030811″> Continue > by name » href= »http://www.madeinalsace.com/recette-dalsace-kaskueche-ou-tarte-au-fromage-blanc/#97761679″> Temps de cuisson: 45 minutes à 200°

Temps de préparation : 30 minutes

Préparation de la pâte à foncer :

Ingrédients pour 500 grammes de pâte : – 222g de beurre mou – 37g de lait tiède (Alsace lait entier) – 1 cuillère à café de fleur de sel – 22g de sucre by name » href= »#67527607″> Continue > by name » href= »http://www.madeinalsace.com/recette-dalsace-kaskueche-ou-tarte-au-fromage-blanc/#66453022″> semoule by name » href= »#93158620″> akamaihd.net/items/it/img/arrow-10×10.png » alt= » » /> – 300g de farine type 45 – 1 petit jaune d’oeuf

Assouplissez le beurre dans le bol de by name » href= »#99772022″> Continue > by name » href= »#68051454″> votre robot à l’aide de la feuille. Ajoutez ensuite le lait et le sel tout en by name » href= »#67448424″> Continue > by name » href= »http://www.madeinalsace.com/recette-dalsace-kaskueche-ou-tarte-au-fromage-blanc/#25017836″> continuant de remuer. Tamisez la farine, et ajoutez-la au mélange précédent avec le jaune d’oeuf. Mélangez jusqu’à l’obtention d’une pâte homogène. Fomez une boule et réserver au frais pendant 60 minutes.

Préparation de l’appareil au fromage blanc :

Ingrédients : – 800g de fromage blanc à 40% de matière grasses – 4 jaunes d’oeufs – 1 pincée de sel – 180g de sucre semoule – 40g de farine – 200g de crème liquide entière (Alsace lait) – 2 cuillères à café de vanille liquide – 4 blancs d’oeufs – Quelques noisettes de beurre frais

Dans un saladier, mélangez l’ensemble des ingrédients à l’exception des blancs d’oeufs. Montez ensuite vos 4 blancs d’oeufs en neige. Incorporez-les délicatement au mélange précédent. Réservez au frais 5 minutes.

Montage de la tarte :

Sortez la pâte du réfrigérateur et étalez-la sur une épaisseur de 3 mm. Mettez-la dans votre moule. Versez ensuite l’appareil à fromage blanc. Répartissez quelques noisettes de beurre. Mettez au four préalablement chauffé 45 minutes à 200 ° environ. Attendez le complet refroidissement avant dégustation.

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Commentaire

«On ne retirera rien au droit local»(je me permet d’en douter ……)

Strasbourg – Déplacement du président de la République François Hollande a assisté à la signature des contrats triennal et Etat-Région

Le président Hollande a assisté à la signature ce matin des deux contrats -triennal et Etat-Région- à l’hôtel du préfet à Strasbourg. Il poursuit son déplacement en Alsace, cet après-midi, à l’ancien camp de concentration de Natzweiler-Struthof, où il va présider la cérémonie de la Journée nationale de la déportation.

Devant un parterre d’une centaine de personnalités, élus et responsables institutionnels, François Hollande a présidé la signature des deux contrats qui lient d’abord l’État à « Strasbourg, capitale européenne 2015-2017 », pour un montant de près de 149 millions d’euros (dont 40 millions pour ce qui concerne la part de l’État). Puis le contrat de plan Etat-Région (CPER), qui permet de donner le feu vert à série d’investissements pour un montant de 836 millions d’euros (dont la part de l’État se monte à 394 millions d’euros). Au cours d’une cérémonie millimétrée, qui n’a laissé place à aucune improvisation, c’est d’abord le maire de Strasbourg qui s’est fait le défenseur du « lien organique qui unit Strasbourg à l’Europe ». Le président du Conseil régional, Philippe Richert, lui a emboîté le pas, en estimant que cette « vocation européenne de Strasbourg n’est pas négociable », puis en défendant tout le bien-fondé du contrat de plan Etat-Région. Mais Philippe Richert s’est surtout dit « inquiet » sur le ressenti en Alsace sur la réforme institutionnelle non souhaitée, sur la méthode et le découpage.

Réforme institutionnelle: «On ne retirera rien au droit local»

François Hollande a lui aussi répété son engagement pour Strasbourg : « Jamais la France n’autorisera de modification de traité pour Strasbourg, capitale de l’Europe », a-t-il souligné. Saluant « l’engagement des Alsaciens dans leur capacité de rassemblement autour des grands projets », il s’est félicité des contrats Alsace 2030 et Strasbourg 2020, qui drainent un milliard d’argent public. Le chef de l’État s’est voulu rassurant sur les réformes institutionnelles connues depuis trois ans avec l’avènement des métropoles, les nouveaux conseils départementaux et la redéfinition des nouvelles compétences intercommunales. Il a souligné que l’« on ne retirera rien au droit local » et a plaidé pour « une Alsace ouverte et généreuse ». Et « non une identité repliée sur elle-même » et « non figée dans le passé ».

Vos commentaires

d9noel – 27.04.2015 | 10h26 Interêt ?

Quel est l’interêt de signer un contrat triennal quand un des partenaires n’existera plus l’an prochain ? Du grand n’importe quoi et on voit que M. Richert a mis le bon coté de sa veste. « Une Alsace ouverte et généreuse », bien sur, on voit bien où il situe l’ouverture….
MB1948 – 27.04.2015 | 09h01 pas de réactions de nos élus ?

Comment nos grands élus peuvent-ils dérouler le tapis rouge à FH qui insulte les Alsaciens et parader à ses côtés alors que l’Alsace n’est en rien figée dans le passé ? ils n’a pas défendu l’idée d’une grande région Alsace-Lorraine qui faisait consensus que même  les socialistes avaient proposée ? Les élus bretons (il est vrai qu’ils ont 2 ministres au gouvernement) ne se sont pas laissés faire et ont défendu leurs intérêts
alma1556 – 27.04.2015 | 08h12 REPLI FRANCO FRANCAIS

L’Alsace a son avenir au cœur de la mégalopole européenne qui s’étend dans l’axe du Rhin, de Londres à Milan, la fameuse « banane bleue ».  Rattacher l’Alsace à un ensemble franco-français déprimé nous détourne de notre vocation rhénane et européenne sans apporter grand chose au nouvel ensemble qui ne représente rien par rapport l’axe Londres-Milan. Au lieu d’être au cour de l’Europe, nous serons (si nous ne luttons pas), à l’Est d’une sorte Sibérie française !

Réécoutons Daniel Hoeffel:  » Nous accuser de nous placer dans une position d’isolement ou de repli sur nous-même, constitue une méconnaissance totale de la réalité d’aujourd’hui qui consiste à replacer la réorganisation territoriale dans un contexte européen. La réforme proposée découle d’un raisonnement purement h

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Made in Alsace

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Nouveau drapeau armorié

Drapeau Alsace-Lorrain

Drapeau
régionaliste alsacien

Ancienne
province de l’est de la France, limitée au nord par l’Allemagne, à
l’est par le Rhin, au sud par la Suisse et à l’ouest par la Lorraine.
Cap. Strasbourg. Son nom vient du celte Elsass, pays de l’Ell ou
habitants des bords de l’Ill.Histoire de l’Alsace : pays de
l’ancienne Sequanie celtique, elle fut conquise par les Francs de
Clovis et incorpée au royaume d’Austrasie. Au IXe siècle, le duché
d’Alsace fut réuni à la couronne de Lorraine et eut par la suite des
comtes (ou landegraves) particuliers. A partir de l’an 940, l’Alsace
appartint à l’Autriche. Elle fut réunie à la Couronne de France en 1648
par le traité de Westphalie, confirmé en 1678 par le traité de Nimègue
et en 1697 par le traité de Ryswyck.

Origine du drapeau alsacien
Rot un Wiss : Rouge et Blanc, tel est le nom du plus ancien drapeau
alsacien. Dès le XIe siècle, Gérard d’Alsace, premier duc de Lorraine
fait arborer une bannière rouge et blanche à ses troupes. En 1262, les
bourgeois battent les soldats de l’évêque Walther de Geroldseck à
Hausbergen et adoptent les couleurs de ce dernier pour fêter leur
affranchissement et leur statut de ville libre. Les bourgeois de la
ville prennent alors l’habitude de prêter serment devant un drapeau
rouge et blanc.

Les drapeaux rouges et blancs deviennent, en
1870, le symbole du Reichsland et d’une certaine résistance régionale à
l’occupation prussienne. L’Alsace culturelle, portée par la Revue
Alsacienne de Littérature le fait entrer dans la légende. Les frères
Albert et Adolphe Mathis écrivent « Uff denne Wappe han’mer geschwore,
de adle Fahne wiss un rot ». En 1911, le Elsässische Fahnenlied d’Emile
Woerth fait dire aux Alsaciens : « Laissez nous jurer sur notre drapeau,
mes frères des Vosges au Rhin : Jamais une main étrangère ne devra nous
séduire, Nous voulons rester fidèles à l’Alsace ! » Le Rot un Wiss
devient l’objet de débat au Landtag, où une commission parlementaire
l’imagine intégrant une croix de Lorraine pour représenter tout
l’Elsass-Lothringen. En 1916, Pierre Loti, auteur de Pécheurs
d’Islande, s’étonne dans L’Illustration de voir « ces drapeaux français
et ces drapeaux alsaciens blancs et rouges qui jaillissent spontanément
comme par magie des fenêtres ouvertes ».

En mai 1968, des
étudiants le font alors flotter sur la Cathédrale de Strasbourg. En
1976, le Rot un Wiss accueille le Président Valéry Giscard d’Estaing à
Sainte-Marie-aux-Mines, à l’occasion de l’inauguration du Tunnel. De
nos jours, nous pouvons le voir flotter sur des bâtiments officiels,
privés ou encore lors de diverses manifestations.

Nouveau
drapeau de l’Alsace : il est la réunion des armes héraldiques mises en
bannières, de la Haute et de la Basse-Alsace. La Haute-Alsace a pour
armes de gueules à la bande d’or accostée de six couronnes du même,
posées en orle, regardant la bande, et la Basse-Alsace porte de gueules
à la bande d’argent dentelée du même. Cette composition est récente,
l’ancien drapeau portait les deux armoiries en parti

Sources :
– Jacques Meurgey, Notice Historique sur les Blasons.
– Robert Louis (dessin du blason de l’Alsace).
– Grand Dictionnaire Encyclopédique Larousse.

Liens :
– SVAL – Société Vexillologique d’Alsace-Lorraine
– Le Drapeau Alsacien
– Vosegus
– Emblèmes alsaciens

Texte et dessins : Thierry Gilabert – Nov. 2001. WebAnalytics


 

 

VIN D’ALSACE

-Les vins d’Alsace–>ICI

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Les meilleurs vins alsaciens sont:

Carte AlsaceL

Les 7 cépages alsacien

En Alsace, contrairement aux usages des autres vignobles français, ce n’est pas en général le terroir qui donne son nom aux vins, mais les cépages eux-mêmes.

Toujours présentés dans leur bouteille typique, la flûte d’Alsace, ils sont obligatoirement embouteillés dans la région de production.

Les vins d’Alsace sont de sûrs alliés de la gastronomie. Ils se servent frais, mais non glacés, 6 à 8 °C.

Les vins d’Alsace proviennent de 7 cépages : Sylvaner, Pinot Blanc, Riesling, Muscat, Tokay Pinot Gris, Gewurztraminer et Pinot Noir.

Lire la suite

Elsàss vache à lait

vache a lait

Ainsi, en 2012, les recettes de l’Etat collectées en Alsace ont été de 10,6 Milliards d’€[1] alors que, pour la même année, les recettes fiscales nettes de l’Etat[2] s’élevaient à 296 milliards d’€[3]. C’est-à-dire que les Alsaciens, qui représentent 2,8% de la population française, ont contribué à 3,6% du montant des recettes fiscales de l’Etat !

L’Alsace est d’ailleurs placée régulièrement dans le peloton de tête pour le montant des impôts versés par tête d’habitant[4], mais se situe parmi les régions les moins bien loties pour les investissements de l’Etat : aides, dotations / participations, investissements sur infrastructures, investissements d’avenir, subventions…

En comparant, par exemple, les chiffres de l’Alsace et de la Lorraine pour l’année 2011, on s’aperçoit que l’Etat a prélevé en Alsace 1,928 milliards€ d’impôts sur le revenu pour une population de 1,843 millions d’hab. (Recensement 2011), contre seulement 1,168 milliards€ en Lorraine pour une population pourtant beaucoup plus importante de 2,356 millions d’hab.[5]. En Lorraine, le nombre de foyers fiscaux imposables, en % de l’ensemble des foyers fiscaux, n’était que de 52%, alors qu’en Alsace il grimpait à 61%[6]. Deux ans plus tard, en avril 2013, un rapport de la Direction Générale des Finances Publiques (DGFIP) plaçait toujours l’Alsace en tête des régions françaises[7] pour le taux des foyers fiscaux imposables.

Envolée sa prospérité d’antan

Ses intérêts ayant été constamment sacrifiés sur l’autel de l’intérêt national (dans sa perception jacobine), avec la crise venue se surajouter, l’Alsace est à présent obligée d’affronter les récessions en cascades. Sa situation au cœur des dynamiques rhénanes et la nature laborieuse de sa population ne suffisent plus pour maintenir son développement passé. Sa prospérité d’antan s’en est allée et le taux de progression du chômage a battu des records, il a presque doublé entre 2000 et 2014. Les causes sont hélas connues : désindustrialisation, perte d’emplois frontaliers, mauvaise politique économique de Paris… D’après l’INSEE, l’Alsace, longtemps préservée de ce fléau, en 2014 comptait 9,5% de chômeurs, chiffre proche de la moyenne française qui se situait alors à 9,9% (10,6% pour la Lorraine). Plus grave, le chômage de longue durée ne cesse de progresser.

Pas de « comptes propres »

Cependant, on cherchera vainement les chiffres mettant en balance l’ensemble des prélèvements financiers de l’Etat en Alsace et, en retour, le montant de ses investissements (dotations, subventions, investissements, aides…) dans la Région. Mission absolument impossible. Ces études n’existent pas ! Il y a bien des études fragmentaires de la situation, des analyses éparses, mais pas de vue d’ensemble claire, les chiffres sont embrouillés et entremêlés dans des statistiques alambiquées.

Aussi se trouve-t-on dans l’impossibilité d’établir des « comptes propres ». Et pour cause, l’Alsace subit un véritable essorage qu’on n’a pu mesurer pleinement qu’à une seule occasion : en 1975 ! Cette année là, au mois de septembre, et pour la première fois, un rapport de l’INSEE de Strasbourg avait mis en évidence que l’Alsace payait 4722 F d’impôts par habitant – un record français – mais ne recevait en retour que 508 F de subventions, minimum national !!! Le rapport était de 1 à 9 au détriment de l’Alsace[8]. Les DNA choisirent d’abord d’étouffer ce rapport incendiaire… mais pas le « Nouvel Alsacien ». Dans son édition du 31.10.1975, ce dernier publia l’enquête qui mettait en évidence ce qui s’apparentait à un véritable pillage de l’Alsace. Du coup, les DNA ne purent faire autrement que d’évoquer à leur tour ces chiffres quelques jours plus tard. Le préfet, soutenu par les politiques locaux compromis dans ce détournement de l’argent des Alsaciens, contre-attaqua. Une contre-expertise établie par des universitaires spécialisés fut demandée ! Celle-ci arriva pourtant à la conclusion : « Les chiffres de l’INSEE sont justes » ! Ainsi, pour avoir confirmation qu’ils étaient bel et bien essorés, les contribuables alsaciens durent-ils encore débourser 300 000F supplémentaires, coût de l’opération !

L’année suivante, une autre étude de l’INSEE viendra confirmer celle de 1975.

Du coup, on préféra ne plus s’aventurer à commanditer de telles études trop périlleuses pour le gouvernement car elles risquaient de mettre en lumière un formidable déséquilibre en défaveur de l’Alsace qu’il valait mieux occulter.

Avec l’ALCA les statistiques seront inextricables

Cependant, avec la méga région ALCA, ces études, d’accès déjà très difficile, seront rendues encore beaucoup plus complexes. L’Alsace étant à présent privée de périmètre administratif pour être fondue dans le vaste ensemble de l’ALCA, grand comme près de deux fois la Belgique, les statistiques la concernant seront quasiment inaccessibles car confondues avec celles de la Lorraine et de la Champagne-Ardenne. Tout sera encore d’avantage complexifié. Démêler l’écheveau des chiffres pour faire ressortir la part alsacienne, tant pour les sorties de fonds que les investissements en retour, relèvera de l’exploit. Du coup, les Alsaciens pourront être traits sans qu’ils puissent prendre la mesure de l’ampleur du siphonage et de la spoliation dont ils sont les victimes. C’est ça aussi qui nous attend avec l’ALCA !

Bernard Wittmann – 8.2.2015

[1] Source : SGARE / DRFIP Alsace. Ventilation (chiffres en milliards d’€): TVA 5,393, impôts sur revenus 1,928, impôts sur sociétés 1,386, divers 1,893. En 2012, le montant moyen des revenus déclarés par foyer au fisc était de 32.541€ pour l’Île de France (1ère), 26 690€ pour l’Alsace (2e) et seulement 23 126€ pour la Lorraine (13e).

[2] Représentant l’ensemble des recettes fiscales résultant des prélèvements obligatoires.

[3] Source : Comptes Publics.fr – Recettes fiscales (2012). En 2013, les recettes fiscales nettes de l’Etat s’élevaient à 292,6 milliards d’€.

[4] Après l’Île-de-France qui est un cas particulier. En 2012, le montant moyen des revenus déclarés par foyer à l’administration fiscale était de : 32 541€ en Île-de-France (1ère), 26 690€ en Alsace (2e), 23 299€ en Champagne-Ardenne (12e), 23 126€ en Lorraine (13e). Source : JDN L’économie demain – http://www.journaldunet.com/economie/impots/classement.regions/revenu-fiscal

[5] Précisons qu’en 2012, le PIB par habitant était de 27 986€ en Alsace, 25 430€ en Champagne-Ardenne et seulement 22 955€ en Lorraine. Le PIB par hab. de l’ALCA est de 26 700€ !!!

[6] Chiffres 2011 – INSEE-DGFIP

[7] Après la région Île-de-France dont le taux de foyers fiscaux imposables est de 63%.

[8]Cf. « Une histoire de l’Alsace autrement », B.Wittmann, T.3 p.280/281

Quelle : hewwemi.net